Chapitre croissance développement ses treminale

des GP : -mécanisa°

-motiva°(salaire, prime, climat social)

-qualifica°

-expérience et spécialisa°

-organisa° du T

* Le PT est aussi à l’origine des GP et il nécessite de gros I en R&D, au niveau de l’entr et de l’Etat.

c-Le rôle de l’Etat

* La politique de l’Etat joue un rôle essentiel dans la dynamique de la croissance via ses trois fonc° établis par Richard Musgrave en 1959 :

-Affecta° :L’Etat est producteur de services non marchands tel que l’éduca° et la justice .Il produit également des B&S marchands comme la Poste ou la SNCF.

-Redistribu° :L’Etat prélève des impôts et des cotisa° (PO) qui sont ensuite redistribués sous forme de presta°. L’Etat par ses dépenses de redistribu° soutient la C° qui est le principal moteur de la croissance en aidant les ménages modestes qui ont une forte propension a consommer.

-Régula° :L’Etat tente d’amortir les fluctua° de l’activité éco et il peut soutenir la croissance par la politique monétaire(baisser taux d’intérêt ce qui relance la C° et l’I car emprunter devient moins coûteux).

:Grâce à ses I publiques (hôpitaux, écoles, autoroutes)et à sa contribu° importante de R&D, l’Etat joue un rôle essentiel dans la dynamique de la croissance.

:Romer et Lucas sont les théoriciens de la croissance endogène et ont soulignés le rôle clé des dépenses en matière de R&D, d’éduca° et d’infrastructures qui crée des externalités favorables à la croissance.

d-L’importance du contexte socioculturel

* Certaines valeurs religieuses, philosophiques et certaines attitudes peuvent représenter un stimulant à la croissance. Weber a constaté que le protestantisme a favorisé l’appari° du capitalisme.

* Inversemt, certaines religions peuvent être un frein à la croissance(obscurantisme catholique au M-A, les talibans en Afghanistan).Il semblerait que le système de certaines valeurs valorisent les rela° sociales et les loisirs au détriment du T et de la recherche de profit, ce qui est moins favorable à l’I et à la croissance. L’existence de structures sociales rigide(société de castes en Inde, les ordres)limitent toute mobilité sociale sans laquelle il ne peut y avoir croissance et Dt.

B-Les limites de la croissance

1-Le PIB :un indicateur contesté

* Le PIB ne prend en compte que les p° d’une activité rémunérée et déclarée. Certaines activités ne sont donc pas pris en compte(autoC°, T domestique).Les activités bénévoles qui sont créatrices de richesse ne sont pas pris en compte dans le calcul du PIB.

* Une forte éco informelle sous-estime la véritable richesse d’un pays.

* La croissance s’accompagne souvent d’une détériora° de l’environnemt et des condi° de vie non comptabilisés négativemt. De même l’épuisemt des richesses n’est pas prise en compte. Une dégrada° des condi° peut paradoxalemt faire augmenter le PIB.

* Le PIB/hab. est une moyenne qui peut cacher des inégalités. C’est un indicateur global qui peut masquer des inégalités régionales ou sociales.

* La p° non marchande est évalué selon le coût de p° ce qui revient à la sous-estimer car à la différence de la p° marchande, elle ne prend en compte aucune marge.

* Les comparaisons internationales sont délicates car ces varia° de taux de change modifie la représenta° du PIB. Afin de faciliter ces comparaisons on calcule le PIB en PPA(parité PA).

* Pour mesurer l’augmenta° réelle de quantité produite, il faut calculer l’augmenta° en volume pour annuler l’effet de la hausse des prix.

2-Les coûts de la croissance

* Les coûts environnementaux : la dégrada° de l’environnemt, l’épuisemt des ressources primaires non renouvelables et d’autres facteurs ont conduits les économistes à utiliser un nouveau concept :le Dt durable.

* Les coûts sociaux :détériora° des condi° de vie et de T (stress, temps de T, exploita°) de certaines pop et appari° de pathologies nouvelles. En France, le nombre de maladie professionnelle augmente de 20% par an.

* La fragilité des liens sociaux :On constate une tendance au délitemt des liens sociaux, une moindre com°, une moindre solidarité dans les entr, à l’image des suicides chez France Telecom(60 depuis 2008)

* Devant la montée des risques environnementaux, certains économistes comme Serge Latouche préconise la décroissance :une baisse du taux de croissance afin de limiter les pressions sur l’environnemt. Cependant, cette solu° ne semble pas envisageable car son coût social(montée du chômage)et politique(moins de recettes pour l’Etat) serait trop élevé.

C-Le

1-Définir le Dt

* Le Dt c’est un ens de transformat° structurelle éco et sociale qui accompagne la croissance et qui se traduisent par une améliora° durable du B-E des pop.

* On insiste sur l’aspect structurel(modifica° de la structure de la po active, de la p°, de la C°, urbanisa°, industrialisa°)et qualitatif(changemt des mentalités, de comportemt ,progrès de l’éduca° et améliora° des condi° sanitaires).

* Le Dt peut aussi être associé à l’idée de progrès éco et social.

2-Les indicateurs du Dt

a-Différents indicateurs

* L’IDH : il additionne trois dimensions du Dt : -la longévité

-le niveau d’instruc°

-le niveau de vie(via le PIB/hab.)

* L’IPH(depuis 1993) :il mesure un % de la pop pour laquelle dans un pays les besoins élémentaires ne sont pas satisfait. Il tient compte de : -l’espérance de vie

-le niveau d’éduca°

-les condi° de vie

* L’IPF et l’ISDH :permettent de mesurer la qualité du statut des femmes dans divers endroits du globe, ce qui représente un aspect de Dt d’un pays.

b-Les limites de l’IDH

* C’est une moyenne qui peut cacher des disparités, par exemple, entre les hommes et les femmes entre les régions. De plus, le PIB est une mesure imparfaite des richesses créait par une éco.

* Les données recueillis ne sont pas toujours fiables car elles peuvent-être manipuler par un dictateur ou faussés par des mesures statistique approximatives.

* Le taux d’alphabétisa° indique seulement la maîtrise des connaissance de base et la durée des études ne dit en rien leur contenance et leur intensité.

* Le respect des Droits de l’Homme, le degré de pollu°, le statut des femmes, le degré de liberté, la pauvreté et la présence d’une démocratie ne sont pas pris en compte alors qu’ils sont des éléments importants pour le B-E d’une pop.

3-Inégalités de Dt et sous- Dt

* Les PED se caractérisent par une p° plus faible que celles des pays industrialisés mais aussi par la part élevé de la pop active dans le primaire, leur inser° difficile dans le commerce international et le dualisme de leur éco.

* Le dualisme est la juxtaposi° d’un secteur moderne tourné vers l’exploita° qui s’oppose à un secteur traditionnel faiblemt productif.

* Ces pays souffrent aussi de blocage démographique, alimentaire, culturel, d’instabilité politique, de la faiblesse de l’épargne et d’un sous-emploi important. Aujourd’hui les inégalités se creusent entre les pays le plus riches et les plus pauvres (40% de la planète vit avec moins de 2$ par jour).

II-Les interactions entre croissance, Dt et changemt social

A-Croissance et Dt sont-ils indissociables ?

1-La croissance peut favoriser le Dt

* L’accéléra° de la croissance permet une augmenta° du PA et du niveau de vie, facilitant l’accès à une C° de masse et l’achat de B&S diversifiés. Ainsi, la croissance des 30G a entraîné une forte augmenta° et une diversifica° de la C°