Commentaire sur Branche V- Le Haut Livre du Graal

Gauvain dise simplement <<grant merchis>>. Apres qu’il refuse, les demoiselles pensent qu’il représente la contrefaçon de Gauvain est elles décidées qu’il doit payer. Apres avoir entendu les paroles des femmes, le lendemain, Gauvain essaye d’échapper la tente, mais deux chevaliers arrivent disant qu’il n’a pas montrée le respect entièrement, Gauvain tue les deux chevaliers et la ‘coutume’ de la tente disparaît. Les demoiselles offrent leurs services une autre fois, mais ils les refusent et chevauché dans la forêt.

Je vais examiner la façon dont la tente est décrite et le vocabulaire qui crée un alentour riche et luxurieux. Je vais aussi examiner le caractère de Gauvain, et comment son rôle changé au cours de l’extrait. Cependant, la partie le plus important de ce passage est celle des femmes, elles jouent un rôle très changeant et intéressant, qui change d’explication et élucidation à infidélité et manipulation. Le paradoxe est présente dans le forme des demoiselles et du nain, leurs représentations dans l’extrait et ce qui suit l’extrait crée une lecture assez diffèrent des autres parties du texte et des images traditionnelles. On pourrait même dire que le paradoxe est entre la description de la tente et les personnes qui habitent dans la tente. Il y a un décalage entre les alentours et les incidents.

Le vocabulaire utilisée dans l’extrait d’exprimer la tente crée une image d’un monde de richesse, de couleur et de parfums. Il y a beaucoup des couleurs mentionné, comme <<d’or>>, <<blanche>> et <<ivoire>> qui pourraient être signes d’innocence et pureté. En revanche, on constate qu’il y a le couleur de <<vermeil>> qui pourrait être un signe de quelque chose plus sordide, comme le sang. Cette représentation des couleurs et matériaux comme soie et fourrée d’hermine créé une image d’un endroit très beau et luxurieux. Le décor de la tente représente une forme de sublime, il y un côté raffiné et précieux de la tente, mais la mention de <<vermeille>> est assez bizarre. On pourrait dire que ce vermeil est la représentation du sang et de la mort qui viendra dans la suite de l’extrait avec les deux chevaliers. Les femmes sont peut-être ce vermeille.

Les caractères des demoiselles sont très complexes à travers le roman. Elles ont un rôle d’élucidation et d’explication plus tôt dans le roman, par exemple, quand la demoiselle informe Gauvain que la forêt du château du Noir Ermite est dans un état décrépit en raison de l’absence du Bon Chevalier et d’entrer au château sera dangereux. Les femmes sont utilisés pour avertir et expliquer, cependant, dans la suite de l’extrait, on peut voir que les femmes ont un caractéristique diffèrent. Les femmes sont déloyales, imprévisibles, indigne de confiance et assez sanguinaire. Elles essayent de manipuler Gauvain avec les actions sexuelles, et après qu’il refuse, elles changent leur avis sur le chevalier. Elles sont inconstants. Mais est-ce que cette description des demoiselles comme les gens capricieux habituelle pour les romans arthuriennes ? Laudatio Puellae est la description traditionnelle des femmes qui décrit un amour qui est perpétuelle, qui félicité la beauté d’une femme. La façon dont les femmes sont décrits est très différent de cette technique de Laudatio Puellae, ce fait créé un paradoxe entre tradition et les demoiselles manipulatrices de la tente.

Le caractère du nain aussi créé un paradoxe. On sait que le nain de ce passage est le même personnage que le nain qui cause la morte de la femme de Marin le Jaloux par ses mensonges dans Branche IV. Le caractère de ce nain n’a pas change de l’autre branche, mais le fait que ce caractère est menteur et déloyale est un concept bizarre à cause du statut religieux. L’auteur créé un caractère religieuse qui est pas chrétienne par ses actions, par exemple, quand elle dit aux demoiselles que Gauvain ne peut pas quitter quand elle est en charge de son cheval. Le vrai personnage de ce nain ne correspond pas à l’essence du caractère religieux d’un nain.

Il est clair par les actions des demoiselles et du nain que les femmes sont les créatures douteuses, mais est-ce que le caractère de Gauvain détruit par les paroles de ces femmes capricieuses ?

Quand le nain rencontre Gauvain dans la tente, elle lui aide de laver et de reposer, puis avec l’arrivée des demoiselles, il a l’offres de services sexuelles, au début, il est Gauvain, l’homme avec la chance de supprimer la coutume horrible de la tente, mais après avoir rejeter les avances des femmes, elles lui voir comme le ‘contrefaçon’ de Gauvain et elles décident de lui faire payer pour ses actions. Avec l’arrivée des deux chevaliers, Gauvain est établi comme vainqueur, il a gagné son nom de Gauvain, mais encore une fois, il rejette les offres des demoiselles, et il est brandi comme le plus déraisonnable chevalier du monde. Le caractère de Gauvain change de Chevalier, Lâche, Vainqueur, et finalement de quelqu’un déraisonnable. Mais ces paroles des demoiselles