Philo Hitoire

ence, par son action qui est choix permanent. L'homme est condamné à choisir, condamné à être libre = responsabilité de ses actes

HÉRODOTE au 5ème siècle avant J-C. L’histoire rompt ainsi avec le mythe ou la légende. L’histôr, chez les Grecs, c’est celui qui a vu, le témoin. Quant au mot historia, il signifie enquête. Dans ses Histoires, Hérodote affirme œuvrer à la conservation des faits et des gestes principaux des hommes, à travailler à ce que ces actions ne s’effacent pas de la mémoire collective.

THUCYDIDE est le deuxième grand historien. Dans La Guerre du Péloponnèse, il précise la méthode historique, en sélectionnant précautionneusement ses sources d’informations, en adoptant un point de vue critique sur elles, en recherchant l’exactitude de la description, en dégageant l’intelligibilité des faits

COURNOT le bon historien ne doit pas s'arrêter au fait mineur , évènementiel et contingent. Par exemple le calcul de Gromwell ou le nez de Cléopâtre. Il e doit de poursuivre ver l'histoire philosophique, la nécessité, cad chercher le faite entrainant qui ne peuvent pas ne pas se produire. Le sens de l'histoire se trouve dan le nécessité .

PLATON tente une explication métaphysique du mal en rapport avec une conception pessimiste du devenir en général (tout ce qui devient et mauvais car le monde des idées et éternel)Pa de progrès historique histoire humaine négative et decadence. Imperfection inévitable de ce qui nait devient change et disparait. La décadence et inévitable a moins qu'un jour un philosophe ne prenne le pouvoir car lui seul est conduit par la partie intelligente de l'âme le nous .

HEGEL « rien de grand ne se fait sans passion » l’histoire est la révélation progressive, dialectique (procédant par contradiction et dépassement des contradictions) de l’Esprit. C’est la Raison qui est le véritable sujet de l’histoire et l’on peut ainsi dire des différentes figures historiques (les grands hommes), des différents peuples, qu’ils ne sont que des moments de ce procès dialectique. En ce sens, il est nécessaire que les actes et événements apparemment les plus dénués de sens trouvent leur place, leur rôle dans cette histoire. Hegel quitte le point de vue moral qui était encore celui de Kant; ce n’est pas malgré le désordre des passions humaines que l’histoire est progrès ; le désordre est bien plutôt l’œuvre d’une ruse de la raison: celle-ci se sert des passions ; les détours (les luttes, les guerres) qu’elle fait sont nécessaires à son triomphe final. (exemple la persécution de juif à amené a l'avènement d'un état juif)

MARX découvre dans l'histoire humaine le principal sujet : la lutte des classes. La lutte des dominé contre les dominant (maitre-esclave, seigneur-serf , bourgeois -prolétaire). L'histoire pour Marx= une science, le matérialisme dialectique prévoit la révolution prolétarienne à travers la connaissance du passé on peut avoir vers quoi tend l'humanité . Il y aurait donc un sens, un déterminisme stricte de l'histoire cad une société sans classe

Dan toutes société il y a une infrastructure économique et une superstructure idéologique. La première commande la seconde. Notre pensée et donc lié a notre classe sociale. L'évolution des techniques appelés forces productives change le monde( exemple le moulin au moyen age)en entrant en contradiction avec les rapports de production s'ouvre alors une période de révolution sociale .L'histoire et un ensemble de crises

KANT bien que profondément attaché à la pensée des Lumières, désire ne pas ignorer la folie qui habite parfois l’homme, le désordre de l’histoire. Il n’oublie pas ce qu’il appelle « l’insociable sociabilité de l’homme » ; il n’oublie pas que l’histoire est faite de guerres sanglantes, d’oppositions et de conflits, etc. Comment expliquer la présence de celles-ci si l’histoire est bien synonyme de progrès de la raison ? Pour Kant, il y a un plan de la nature selon lequel les dispositions naturelles de l’homme tendent à leur réalisation intégrale. Or celle-ci ne peut avoir lieu