Sainte Colombe Dans La Vie Reel

ussi pour eleve Danoville (qui qualifia son maître d’« Orphée de son temps) fesant ici directement réerence a laa mythologique

et au mythe d'orphée. Marin lui, était très dourée, et il decida au bout de 6 mois de ne plus lui donner de cours voyant qu'il pouvait

le surpassé , mais celui ci écouté en douce son maitre caché. Lorsque celui ci s'en rendi compte il se mit sur ses gardes pour ne plus etre

entendu de son éleve. cela tend à montrer la grande simplicité du musicien, voire un certain ascétisme, malgré l’admiration qu’il pouvait susciter autour de lui.

Il est probable qu'il soit à l'origine de l'ajout d'une septième corde à la basse de viole. Jean Rousseau signale qu'il maîtrisait

l'art de la viole « à la perfection » Il ne fut pas un musicien de cour. En effet le jansénisme et la religion le menèrent à une vie particulièrement

austère l’éloignant de la vie des grands du monde et de la Cour à laquelle jamais il n’appartint. Il se contentait, apparemment, de concerts donnés chez lui.

Il avait construit une cabane de planche dans laquelle il se retirait pour composer et jouer, isolé, solitaire.

cent soixante-dix-sept pièces pour viole seule et soixante-sept pour deux violes, Sainte-Colombe se révèle un compositeur prolifique.

''Bergeronnette preste ou encore L'infidelle'' sont deux de ses oeuvres.

Parmi les compositions qui nous sont parvenues, des Concerts à deux violes esgales (partition découverte par le pianiste Alfred Cortot

et retrouvée parmi ses papiers en 1966). On peut avoir, par l'intermédiaire de ces compositions, une idée de la virtuosité de ce maître.