Socialisme, communisme et syndicalisme en Allemagne depuis 1975

THEME 2 : IDEOLOGIES ET OPINIONS EN EUROPE DE LA FIN DU XIXe SIECLE A NOS JOURS.

CHAPITRE I : SOCIALISME, COMMUNISME ET SYNDICALISME EN ALLEMAGNE DEPUIS 1975

Le mouvement ouvrier : est un ensemble d’association qui milite pour de meilleure condition de travaille pour les ouvriers.

• Syndicat : sont les associations de travailleurs qui ont but de défendre leurs intérêts contre leur patron
• Parties politiques : parti puis en suite pour ceux qui veulent conserver leurs idéaux, il y a le communisme

Le socialisme s’oppose idéologiquement au capitalisme et au libéralisme qui écrase les ouvriers et qui favorise l’intérêt individuel. Le principe du libéralisme vient d’Adam Smith, pour qui le bonheur commun vient de l’avancer individuel.

A l’inverse, Marx, qui se préoccupe des plus faible, veut une égalité pour tous de la condition de vie. Son socialisme est réformiste, et donc révolutionnaire.

Cette intention de mettre tout le monde au même niveau vient d’Angleterre lorsqu’il côtoie les productions de masse et qu’il assiste la lutte des classes entre la bourgeoisie qui détient le pouvoir du capitale et le prolétariat qui possède la force de travail.

Il dénonce donc l’exploitation du prolétariat par la bourgeoisie.

« C’est l’exploitation de l’Homme par l’Homme ».

Pour permettre l’égalité, il décrète qu’il faut supprimer le capital et la notion de propriété privé. Les biens doivent donc appartenir à l’Etat, c’est la collectivisation.

En effet son idée était radicale car pour lui, le socialisme ne pouvait exister que par une révolution pour la dictature du prolétariat.

De la ce différencient les radicaux des progressifs.

L’Allemagne de la fin du XIXe siècle est la première puissance industrielle d’Europe après la 2nd révolution industrielle.

1870/1871 : Début de l’existence de l’Allemagne en tant que pays.

                       Elle existe depuis la fin de la guerre avec la France.

1871-1878 :  L’Allemagne est un empire (un « REICH ») dirigé par un « Kaiser » (l’empereur) et par le chancelier.

1914-1918 :  1ère guerre mondiale, l’Allemagne perd et Guillaume II abdique.

                        C’est le chaos en Allemagne.

1918-1933 :  République de Weimar jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Hitler.

1933-1945 : Régime totalitaire/nazi. Jusqu’à la libération qui divise l’Allemagne en 4 partie

    Puis entre 1947 et 1991 : divisé en 2, c’est le blocus de Berlin entre 1948/1948 par les soviétiques de la RDA

(pour que sa population ne parte pas vers la RDA).

1989 : CHUTE DU MUR DE BERLIN

            REUNIFICATION

            Le Marxisme n’existe plus

1. 1875-1914 : LA FORMATION ET L’AFFIRMATION DU PARTI SOCIALISTE ET DU SYNDICALISMEEN ALLEMAGNE

1. L’UNITE DE SOCIALISTES ET L’HOSTILITE DES POUVOIRS

1875 : congrès de GOTTA 

            Unification des socialistes allemands, qui marque le début officiel des luttes de classes.

Etude p.88-89

Doc 1 :  Il accuse la lutte des classes et l’exploitation de l’ouvrier

              Pour Marx, le prolétariat doit supprimer la bourgeoisie.

              Les socialistes eux, veulent réformer mais progressivement :

• Leur programme prend inspiration sur les idées Marxistes : car ils dénoncent la lutte des classes, considèrent le prolétariat comme l’innovation, et cherche eux aussi une société égalitaire.
• Néanmoins leur pratique est réformiste (changer la société par des moyens légaux)

Bismark, le chancelier empêche la propagande socialiste, et leur interdit toutes expressions pour empêcher l’évolution du mouvement. Puis, par des mesures favorables aux ouvriers comme le début des assurances maladie ou encore par une forme d’assurance vieillesse, il tente de désamorcer la question sociale. Cette politique répressive est abandonnée en 1890 car elle est inefficace.

Début du SPD (parti socialiste allemand).

1. ESSOR ET DIVERGENCES

Essor du SPD au début de la première guerre mondiale.

Voir « Germinale » le film de Claude Berri adapté du roman de Zola.

[pic 1]

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Les réactionnaires sont des conservateurs qui ne veulent pas de cette révolution ouvrière.

Ce sont les partis socialistes qui ont combattus le plus les inégalités de sexes.

Au début ils sont pacifistes et internationalistes, ils sont d’ailleurs contre la première guerre mondiale.

Lorsqu’ils acceptent la guerre ils créer « l’union sacrée » qui rassemble tous les partis dans chacun de leur pays respectif.

1. LA FASE CRITIQUE DU SOCIALISME ALLEMAND

1. DIVISION DES SOCIALISTES

L’épreuve de la guerre

Insurrection à Alger

De Gaulle arrive au pouvoir grâce aux pieds noirs pour qu’il récupère l’Algérie : il les trahira.

Il est le dernier président de la 4e République et le premier de la 5e.

1958 : 5e République

Crise de mai 1968 : (à définir)

2002 : présence de Jean-Marie Lepen au second tour des présidentielles contre Chirac.

[pic 2]

1. LA IIIe REPUBLIQUE, AGE D’OR DE LA PRESSE ECRITE : FIN XIXe -1940

LE PROCESSUS DE démocratisation initié avec la 3e République permet l’emergence d’une presse écrite dynamique et d’une opinion publique.

1. L’ESSOR CONSIDERABLEDE LA PRESSE ECRITE AVANT 1914.

1. Des conditions favorable

1881 : Loi de la liberté de la presse

Essor du train qui accélère la diffusion de la presse et surtout des informations.

Cette presse nourit la curiosité et le gout d’aventure des populasse.

La lecture du journal devient essentielle, c’est une habitude dans toutes les catégories sociales et dans les opinions du publique.

Avant 1914 : les francais sont les premiers lecteurs de journeaux

1. Un riche paysage journalistique

• GRAND QUOTIDIEN NATIONALE (doc 2 p123) : « Le petit journal » qui fait 1 million de lecteurs

Ils cherchent plus à s’adapter aux attentes des lecteurs qu’à modifier leurs opinions. Et privilégient les faits d’hiver (+ divertissents). Et sont plutôt politiquement neutre (pour plus de lecteur).

• PRESSE D’OPINION

Ce genre de presse est moins diffusé mais est très influent

Car chaque partie politique créer leur propre journal pour transmettre ses idéaux :

« Humanité » (socialistes-radicaux)

« L’Aurore » (centre gauche)

« Action française » (extrême droite)

Par la diffusion ‘information et d’analyses, les journaux contribuent à la formation de l’opinion publique.

1. LA PRESSE AU CŒUR DES GRANDES CRISES POLITIQUES

1. La crise de l’affaire Dreyfus

L’enracinement de la culture républicaine s’accompagne de crise où les médias jouent un rôle majeur

Activité : p.122-123

1. Dreyfus est un capitaine de l’armée française, il est juif et est accusé de trahison contre son pays, la France, au profit de l’Allemagne.

Il est condamné au Bagne par le tribunal de guerre qui est ici, le « conseil de guerre ».

Il est condamné à tort, sur de fausses preuves. Mais aussi à cause de la discrimination qui anime les Français à cette époque contre les juifs qui sont considéré comme des ennemis de l’intérieur, car ils viennent d’Allemagne (selon les chrétiens français).

P122-123

Q4.

Evoque le combat de la presse un étendoir en 2nd plan à gauche qui veulent empêcher la lumière de jaillir, ce sont des antisémites

Au premier plan, l’armée est symbolisée par un petit vieux borné, dont Rochefort lui cache la vérité mais l’armée ne cherche pas plus Loing. Le dessinateur attaque pas l’armée car c’est une institution extrêmement suivie par les français.