Victor Hugo sous la deuxième république

Victor Hugo sous la Deuxième République et le Second Empire

II

 Victor Hugo défend les idées républicaines, il est contre la peine de mort comme souligné dans cet extrait « la peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie. Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne. » mais il défend le suffrage universel ainsi que les ateliers nationaux.

III.

Les idées que Victor Hugo défend correspondent avec les principes républicains. En effet, elles respectent la devise républicaine Liberté, Egalité, Fraternité. Il est aussi favorable à une république dites universelle et souhaite que « la république regroupe autour d’elle le commerce, la richesse, l’industrie, le travail, la propreté, la famille ... »

IV

4) Ce document est un extrait du livre « Napoléon le petit » écrit à Bruxelles en 1852 par Victor Hugo à la suite du coup d’Etat de Napoléon Bonaparte. Victor Hugo qualifie napoléon de menteur de malhonnête et de machiavel.

5) C’est une caricature de Victor Hugo publié dans la Une du Hanneton un journal satirique en 1867. Après une opposition au pouvoir de Napoléon Victor Hugo s’exila. On peut voir que les trait de Victor Hugo sont grossis avec une tête disproportionnée a son corps. On peut distinguer qu’il tient une plume et un globe dans ses mains. Un lien s’établi avec les documents précédents à la suite de son avis changeant au sujet de la politique de Napoléon.

        Enfin on peut donc voir que Victor Hugo n’a pas toujours été constant sur ses avis politiques avant 1849. En effet, en 1848 il apportait toujours son soutient à la monarchie mais il changea de bord en apportant ensuite son soutien à Napoléon Bonaparte puis pour qu’en 1849 il devienne favorable a la République et aux principes de Liberté, Egalité et Fraternité. Il s’oppose donc à la politique de Napoléon Bonaparte qu’il critique ouvertement dans son livre « Napoléon Petit ». Il défend les idées républicaines et souhaite une république universelle et a l’instar il s’oppose fermement a la peine de mort.