Rhinocéros, Eugène Ionesco

Paragraphe de la deuxième idée principal

D’autre part, l’œuvre théâtrale offre une image inquiétante d’une société qui se déshumanise. Ainsi, les citoyens de cette petite ville perdent rapidement leur allure humaine qui rapporte une problématique qui est très inquiétante. Voici un extrait qui démontre cette problématique : « Ah mon dieu! Ah mon dieu! Il y en a tout un troupeau maintenant dans la rue! Une armée de rhinocéros… » Dans cette citation, nous percevons qu’il y a une problématique alarmante qui prend part dans la ville entière. Il y a de plus en plus de gens qui perdent leurs caractéristiques humaines pour en devenir des rhinocéros. L’auteur se permet de faire une comparaison entre une armée et le nombre de personne qui subissent une thérianthropie pour démontrer à quel point il y a plus de rhinocéros dans les rues de la ville contrairement au nombre de personne restante qui sont totalement humaine. Par la suite, la citation inclue une anaphore avec la répétition du groupe de mots « Ah mon dieu », qui mène clairement a faire véhiculer la peur ressenti par le personnage de la pièce de théâtre Rhinocéros. Ensuite, la situation démographique semble prendre un coup vers le pire et voici un extrait qui démontre exactement dans quel état se trouve le village : « Je suis tout à fait seul maintenant. On ne m’aura pas moi… Personne ne peut m’aider à la retrouver, personne, car il n’y a plus personne. » Dans la citation, nous ressentons l’effet de la guerre, car Béranger est le seul qui ne sait pas transformé en rhinocéros donc, l’effet que l’auteur donne au lecteur de la pièce est que Béranger doit se battre seul contre une espèce animale pour retrouver sa femme et est certainement inquiétant pour monsieur Béranger. En addition, cette citation une établie forme de gradation qui évolue un sentiment de détresse perçus par le lecteur parce que Béranger est le dernier survivant de cette mystérieuse problématique. Pour finir, la pièce de théâtre Rhinocéros fait évoluer un effet d’inquiétude causé par le fait d’une société qui se déshumanise.