Commentaire littéraire Voltaire

Texte 1

Introduction:

Ce texte a été écrit par Voltaire, c'est l'un des plus grands écrivains du siècle des lumières. Il participera à tous les combats idéologiques de son temps et il s'est essayé à tous les genres litteraires: Théatre, poésie, lettre philosophique, étude historique. C'est avec les contes philosophiques qu il rencontre le plus de succès. Il écrit Candide en 1759. Il racontel es aventures d'un personnage éponyme. Mais en même temps, il se livre à une réflexion à differents aspect de la société de son temps. Le texte présenté est l'incipit de cette oeuvre et nous présente les différents personnages.

Problématique: En quoi cet incipit s'apparente t-il a un conte philosophique?

1er Axe: 

2eme Axe:

 "Il y avait": Nous rappelle le conte

"Vestphalie": On peut voir une indication de lieu. L'auteur ne nous donne aucune indication temporelle ce qui nous permettrait de situer la période du récit.

Ligne 14 -15: Comme pour le baron, Voltaire établit un lien de fausse logique mais cette fois -ci entre l'apparence du personnage et le respect qu'on lui accorde.

Ligne 21:"nigologie" voltaire critique la philosophie de Pengloss. Son enseignement est composé une suite d'une suite sciences très sérieuse: la métaphysique, la théologie, la cosmologie. Elles sont tournées en dérision par le dernier mot créé de toutes pièces par voltaire"nigologie" qui renvoie aux discours d'un simple d'esprit. Cela créer un effet de chutes et renforce l'ironie. Voltaire utilise ce procédé pour critiquer le philosophe allemand LEINBIZ qui est l'auteur de " tout est bien dans le meilleur des mondes"

Transition: 

Conclusion: Cet incipit répond bien aux caractéristiques d'un conte philosophique. Le récit s'inscrit dans un cadre idéal, et on y découvre qu'il n'y a que des qualités. Mais en même temps que voltaire porte un regard critique sur ces mêmes personnes qui semblent apporter une grande importance aux apparences, il termine l'extrait par une attaque au philosophe LEIBNIZ et à sa conception optimiste de la société. Dans la suite de son récit et les aventures vécues par Candide, Voltaire va s'appliquer à démontrer que la conception de LEIBNIZ n'est pas le reflet de la réalité comme on le voit dans le chapitre trois qui évoque la guerre.