Des lycéens dans une association de soutien scolaire

Nous allons synthétiser le texte de Julie Deville qui s'intitule "Normes et codes juvénil" qui date de 2010Nous ferons cette synthèse critique de la maniière suivante ; tout d'abord ne ferons une introduction autour de l'auteur, du texte, par la suite nous continurons par un développement , nous inscriront a cette synthèse un avis personnel pour enfin terminer par une conclusion. Julie Deville est maîtresse de conférence en Sciences de l'Education à l'université de Lille. ses recherches " portent principalement sur la relation entre éducation et travail, dans ses dimensions de continuité et de discontinuités." Elle participe également à "des recherches collectives sur les stages et sur l'initiation à l'esprit d'entreprendre." (Julie Deville, uuniversité de Lille,CNU : SECTION 70 - SCIENCES DE L'EDUCATION). Cet article sera axé sur la jeunesse. Il nous parlera de la manière dont la socialisation adolescente se déroule au sein d'un établissement scolaire (dans notre cas , le lycée) et comment arrivent-ils à gerer les normes scolaires et codes juvéniles qui sont deux sujets opposés. La problématique de cet article est de chercher à comprendre "comment se conjuguent les codes du groupe de pairs et l’acquisition des normes scolaires. Comment ces lycéens font-ils coexister les exigences de travail personnel et les enjeux ’une carrière scolaire avec les formes que prend leur sociabilité ? Adhésion et opposition à l’école ne se construisent-elles pas nécessairement en parallèle ?" (Deville J. ,2010, p 40-50). Le terrain de l'article sera basé sur une observation au sein d'une association d'accompagnement des élèves qui se nome AJEP au sein d'un quartier populaire.

Tout dabord , nous prenons connaissance du lieu de l'association d'aide aux devoirs ainsique le déroulement d'une periode de travail. On apprend que l'association n'a pas accée à un grand espace , on dit qu'il s'agit d'un espace "exigut". Elle se déroule en premier temp dans "des locaux prétes par d'autres associations" puis "une pièce, dans un local en demi-sous-sol d’une autre tour, prêtée pour la seule plage horaire du soutien par une autre association du quartier, qui l’occupe à titre principal" (Deville J. , 2010, p50). Ont apprend ainsi que les séances d'aides aux devoirs sont organisé par des vacataires , vient ensuit un petit tours de tables pour organiser le deroulement de la séance. Ont comprend tout de suite que cette association est comme un petit "cocon" qui parait pour les élèves comme un espace de sociabilité du fait qu'ils se retouvent avec les copains et du fait qu'il ne soient pas face à des enseignants; "Les lycéens se sentiront "donc autorisés à exprimer, au moins partiellement, des opinions négatives concernant leur propre expérience." (Deville J. , 2010, p50) , mais aussi d'uun espace familier car comme nous l'apprend l'article , la majorité des élèves connaissent cette association depuis un bon nombres d'années ce qui fait qu'elle est source de souvenir , de lieu de rencontre entre amies tout en travaillant. Nous pouvons rajouter qu'il s'agit d'un lieu de travaille ou les codes juvéniles sont plus présent que les normes scolaires car nous navons pas le coté exigents et strictes que l'ont peut retouver dans un établissement scolaire par exemple.

Ensuite, nous apprenons que l'influence de la fréquentation de l'association est due a plusieurs facteurs. Il y a le fait que la volonté de vouloir réussir: il n'est pas forcément nécéssaire d'avoir des difficultés pour faire du soutient scolaire. C'est le cas de Mansour qui est très bon élève mais qui préfère faire du soutient scolaire pour faciliter sa prchaine année scolaire . Outre ce fait ,nous pouvons approuver que la composante familiale joue un role fondamentale dans l'influance de la fréquentation de l'association ; il y a des adolescants qui vont faire du soutient scolaire parce que leurs frères et soeur ont deja fat du soutient scolaire : "Nombre d’entre eux mentionnent un aîné, ou des amis, fréquentant déjà l’accompagnement, dont ils ont également souhaité suivre l’exemple" (Deville J. , 2010,p51).Les parents poussent leurs enfants des le plus jeune age à integrer cet association. L'implication des parents est très importantes pour l'évoltion scolaire de leurs enfants. Un enfant qui sera soutenu et suivi par ses parents aura des bons résultats ( ce n'est pas une généralité) et donc aura des chances de poursuivre sa scolarté dans de bonne conditions.

L'accompagnement scolaire constitue un lieu de rencontre en socialisation de pairs et socialisation scolaire. Expliquons cela; Lors de l'accompagnement scolaire , nous allons avoir des echanges tants scolaire que sociale. Les adolescants vont dabord avoir des echanges sur l'écoles, sur leurs vie extra scolaires. L'acompagnement scolaire est aussi un lieu de socialisation scoaire car ils vont faire conaissances via un cadre "scolaire"; ils vont Ils y expriment des critiques envers les enseignants, les établissements, les programmes, des protestations devant l’inutilité de certains exercices, voire y exposent leurs stratégies de contournement du travail"( Deville J. , 2010,p51). Ont voit bien que les élèves sont préocuper aux sujets de leurs scolarités et le faits qu'ils en parlent tous ensemble les mènent à se sociabiliser scolairement. Ils auront également soiuvent des sujet de conversations qui mèneront à la scolarité. Néanmoins, la socialisation de paires prend le dessus car on s'apercoit que les jeunes adolescents se regroupe "par groupe de paire réunis par l'expérience juvénile" ( Deville J. ,2010, p52); les élèves vont se regrouper par afinité car ils se connaient pratiquement tous. Ont apprend aussi que cetaccompagnement scolaire vise à la socialibisations des plus timides . Un adolescents timide et reserver bas rester dans son coin mais petit a petit il va être amené a parler avec les aujtres pour but d'être intégrer dans le groupe: nous pourrons alors parler de sociabilisation autant scolaire que de pairs.

Nous avons appris que l'association etait un lieu qui mélangeait