En quoi La petite de fille de Monsieur Linh se rapproche du conte merveilleux ?

Durant le cours de français, nous avons lu le roman qui s’intitule La petite fille de Monsieur Linh, l’auteur de cet ouvrage est Philipe Claudel, il l’a rédigé en 2005. Suite à la lecture de ce dernier nous devions répondre à cette question : en quoi La petite de fille de Monsieur Linh se rapproche du conte merveilleux ?

Pour le premier aspect sur l’espace dans ce roman est complétement imprécis puisque l’auteur ne cite jamais de nom de pays, provinces et villes. L’auteur nous laisse croire que l’histoire se déroule dans une ville urbaine mais cela est trop vaste et que le pays d’origine est la chine mais après il annule cette théorie en disant que la famille qui partage le dortoir avec monsieur Linh est polygame par exemple : « Deux familles de réfugiés y sont déjà installées depuis trois semaines. Elles ont pris leurs habitudes et leurs aises. Elles se connaissent pour être originaires de la même province du sud. Ensemble, elles ont fui, dérivé longtemps sur une épave, avant d'être recueillies à bord d'un vrai bateau. Il y a deux hommes, jeunes. L'un a une femme, l'autre, deux. »

Pour le deuxième aspect sur le temps sur lequel se déroule l’histoire est négligé puisque nous ne pouvons même pas savoir l’histoire se passe en quelle année. Philipe Claudel ne nous donne aucun indice qui permet de connaître le temps par exemple nous ne pouvons pas savoir combien de jours monsieur est rester dans le dortoir sans sortir. L’auteur cite quelque fois les jours de la semaine mais cela est indirect.

Pour le troisième aspect celui sur les personnages qui sont clairement imprécis puisque durant tout le long de l’histoire l’auteur ne décrit pas les personnages, l’information que nous avons sur monsieur Linh est presque inexistante, tout ce que nous savons est qu’il a vécu dans un pays en guerre puis c’est enfui pour sauver sa petite fille. L’auteur néglige moins l’information qu’il nous donne sur un personnage important : M. Bark, nous savons qu’il n’aime pas la société dans laquelle il vit et qu’il a fait la guerre dans le pays de M. Linh.

Pour le quatrième aspect celui-ci est les évènements merveilleux qui sont normale dans l’histoire, cet aspect est complètement négligé puisque dans l’ouvrage l’histoire se passe dans un endroit sans événements merveilleux par exemple : « Et toujours ces alignements de bâtisses aux fonctions improbables vers lesquelles se dirigent des camions, (…) de coups prolongés de klaxon. »

Pour le cinquième aspect celui sur la fin, nous trouvons que la fin est plus ou moins heureuse puisque M. Linh voit son