Jean Paul Sarte : « les mots »

Jean Paul Sarte est un philosophe du XXe siècle, il a écrit une œuvre publié en 1964. Elle se nomme « les mots ». Dans cette œuvre autobiographique. Le narrateur est l’enfant qui est devenu grand, on parle d’un souvenir marquant ce RDV chez le coiffeur lui a permis de grandir mais aussi de passer de fillette a garçonnet. En quoi cette anecdote plaisante est -elle riche pour l’autobiographe ? dans un premier temps nous allons étudier une anecdote plaisante et dynamique puis dans un second temps nous allons étudier passage de l’enfance au monde adulte

1) vivacité de la narration

Impression de rapidité un enchaînement de préposition courte et longues « j’adorais les surprise, il y en avait beaucoup chez nous. » ou Je reviens glorieux et tondu.il y eut des cris mais pas d’embrassement ma mère s’enferma dans sa chambre pour pleurer ». Au début du texte il passe d’une anecdote a une autre ,il commence par raconter le début de l’anecdote chez le coiffeur « un jour, j’avais sept ans » puis quand il a eu fini d’expliquer que les surprise était nombreuse dans sa famille et commencer le début de l’histoire du rdv chez le coiffeur il enchaina sur une nouvelle anecdote celle de l’appendice « quand on m’avait ôté l’appendice »on suppose que le narrateur a voulu faire un moment de suspense pour qu’on vive dans l’histoire sans pourtant l’avoir vécu.  

2) les effet d’attente

On s’attend à ce que les personnage soit surpris car dans le texte le narrateur utilise le champs lexicale de la surprise au début du texte le narrateur dit « j’adorais les surprise il y en avait tout le temps chez nous » on peut voir que dans la famille les surprise et les cachoterie sont nombreuses et habituelle « cachoterie amusées ou vertueuse cadeaux inattendue » on voit aussi qu’il y a beaucoup d’effet de théâtre dans le début du texte « révélation théâtrale suivis d’embrassement ».on voit aussi que dans la famille il y a beaucoup de secret « ma mère n’en a pas souffler un  mot a Karl » donc on peut peut-être penser que  ce ne sont pas des surprise mais aussi des mensonges au sein de la famille.  

3)un récit plein d’humour

Dans le récit on peut voir qu’il y a de l’humour dans des moments qui ne sont pas forcément drôles/ironique comme à la fin du texte « je reviens glorieux et tondues » il y a aussi des personnification du narrateur après le rdv chez le coiffeur  « on lui avais confié sa petite merveille , il lui avais rendu un crapaud » le texte et humoristique pour montrer que Sarte a pris du recule sur l’histoire et qu’il le raconte avec humour et non avec tristesse , son premier rdv chez le coiffeur il transforme une expérience douloureuse en récit à la fois drôle et tendre.

1)une révélation sur soit même

Il découvre sa laideur après son rdv chez le coiffeur il réalise sa transformation  « son visage caché par ses boucles », « évidence » « s’avoua » il a quitté son apparence de fillette pour devenir un garçonnet il le sait lui-même il dit « je reviens glorieux et tondu » avant de constater qu’il est devenu laid « l’évidence de ma laideur » il, fais allusion aussi a un problème a l’œil qui avec ses anglaises cachaient ce défaut  « mon œil droit entrait dans le crépuscule. Il cachait son côté laid et moche par ses anglaises « je regardais mes boucles avec bienveillance mes boucles rouler le long de la serviette » il ne se trouvait beau qu’avec ses cheveux et ce rdv chez le coiffeur a annulé sa confiance en lui