Journal de lecture et reflexion sur robinson crusoe de daniel defoe
Compte rendu : Journal de lecture et reflexion sur robinson crusoe de daniel defoe. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar TP show • 9 Mai 2020 • Compte rendu • 1 530 Mots (7 Pages) • 806 Vues
Je viens de commencer Robinson Crusoé de Daniel Defoe ce 16 avril,en espérant que les aventures de l'intrépide Robinson Crusoé,me permettent tout de même de voyager en cette période de confinement.
J'entamais alors la lecture de mon livre quand le premier passage qui prêtait mon attention fut le suivant.Le jeune Robinson sortit du cocon familiale pour une vie d'aventures et de surprises dont ses parents l'avaient mis en garde.Le jeune Robinson entêté partit et se retrouva sur un navire au port de Hum.Il embarqua sur le navire et se retrouvait alors à faire une traversée.Durant celle-ci, il y eut une grosse tempête qui submergea la confiance insouciante de Robinson et qui l'effraya au point qu'il se souvint des mises en gardes de ses parents et qu'il retrouva l'espace d'un instant la volonté de les revoir,de tout abandonner de nouveau, pour vivre une vie selon leurs décisions. Mais cet éclair de pensées rationnelles fut vite chassé par l'ivresse et l'alcool. C’était le résultat de l’influence des autres marins pour intégrer leur groupe.C'est ainsi qu'il poursuivit sa route...
Durant ma lecture,ce passage m'a fortement marqué car je m'y suis identifié.Je n’ai pas toujours écouté les choix et les mises en gardes que firent pour moi mes parents et je m'en suis mordu les doigts.La vie nous offre le choix d'écouter nos parents qui ayant plus d’expérience, nous font faire des choix plus sensés afin de réussir notre vie.Mais aussi la «providence» peut-elle nous faire prendre un autre chemin? Une vie d'aventure plus risquée, hors de sa zone de confort, qui à tout moment,au moindre faux-pas peut nous faire couler.Le roman ne serait il donc pas une mise en garde pour les aventuriers?Ces derniers, en rêve de conquête et d'une vie pleine d'inattendue, pourraient se retrouver dans la situations misérable de Robinson (coincé 28 ans sur une île) ou bien pire:courrir à leur perte. L’état de Robinson (coincé sur l’île) ne serait-il pas une punition de la providence pour avoir désobéi à ses aînés? Suivre la volonté des parents et donc une choses importantes pour l’époque. L'expérience de Robinson serait une sorte de mise en garde ou une morale,pour qui tenterait de défier l'autorité parentale.
Un autre passage assez similaire à celui ci dans la suite de l’histoire marqua mon attention dans le chapitre « la sainte bible » qui parle de l’état mental du jeune Robinson au début de son aventure,et durant sa période de folie, lorsqu’il tomba malade. Pensant alors courir à sa perte il se rappela des mises en gardes faites par ses parents,et il essaya de trouver une raison rationnelle à ce qui lui arrivait. « Dans cette intervalle me revinrent à l'esprit les bon avis de mon père et sa prédiction dont j'ai parlé au commencement de cette histoire,que si je faisais ce coup de tête Dieu ne me bénirait point[...] » Cela montre d'autant plus la place de la religion à l'époque dans les choix de vie d'un jeune adulte.Il redoute surtout que ce qui lui arrive, sois due au mauvaise prédilection de son père à cause du choix qu'il a fait lui même. Cela donne un fort caractère spirituel au récit.《maintenant dis-je à haute voix les parole de mon père sont accomplis,la justice de dieux m'a atteint [...]» Impuissant face à ce qu'il est en train de vivre,il regrette ses choix de manière implicite,et donne raison à l'opinion ses parents sur ses choix et la voie qu'il a empruntée.La maladie qui le fait souffrir et de la difficulté de la vie sauvage lui font craindre que se soit un divine répercussion, liée à sa désobéissance par rapport à la volonté de ses aînés. Conscient de sa condition misérable il se réfugie alors dans le seul espoir qu'il à en lui:la croyance et la religion.(Qui légitimera dans la suite du récits la plupart de ses actes) « seigneur vient à mon aide,Car je suis dans une grande détresse». Je pense donc que ce passage montre comment un homme qui a tout perdu, arrive a se rattacher a quelque-choses qui le dépasse (la religion) et se servira de cela comme une force pour l'aider à garder espoir et survivre.Pour ma part ce n'est pas le cas.Je ne partage pas cette croyance.
Je viens de finir Robinson Crusoé de Daniel Defoe en ce samedi 25 avril.Mon opinion sur ce livre que j'ai fortement apprécié, a évolué au fil de ma lecture.Tout comme son sens et son interprétation des différentes leçons de vie qu'il nous donne.Les lignes suivantes justifieront mes propos.Tout d'abord, en cette longue période de confinement, je suis fier du choix de ma lecture.Car même si voyager m'est impossible, ce livre m'a permis de transgresser les lois de l’espace et du temps, afin de vivre les aventures de Robinson Crusoé et de tirer morales et leçons de tout ce qu'il a vécu.Je suis donc satisfait de cet expérience personnelle.
La première leçon que j'ai tirée grâce à se livre est la suivante:
Le nombre la cohésion et la détermination d'une société ou d'une organisation fait sa force.Les aventures de Robinson en sont le parfait exemple.Seul, Robinson mis 28 ans pour s’échapper,aménager l’île et y survivre.Cela lui a demandé du temps et une quantité d'énergie incroyable lorsqu’il était seul.Mais à plusieurs ces actions auraient-elles été réalisées plus rapidement?C’est d’ailleurs ce qu'il se produisit lorsque de nouveaux arrivants se mirent à vivre sur l’île à ses cotés.Le principe de cohésion est illustré par certaines situations (ex il a réussi à battre avec vendredi une vingtaine d'indien ,et délivra le père de Vendredi avec un espagnol, qui étaient prêt à être mangé.)Les indiens étant supérieurs en nombre,cet exploit a été possible grâce à la parfaite coordination de Robinson et vendredi pour tous les tués.Cela illustre également le lien fort qui unit les 2 protagonistes, et qui est raconté à travers se livre.Pour finir Robinson a pu entreprendre ses projets grâce à la force de son mental,parfois fragile.Ces fragilités et ses forces sont ressentis,car Daniel Defoe place le lecteur dans la tête de Robinson, il est donc possible pour lui de savoir ce qu'il l’anime «j’eus alors la pensée[...]Je ne me souciais».Cela ma ramené à ma situations de confiné avec tout d'abord, la force mental pour résister à la tentation de sortir ou de voir des amis.J'ai eu cette volonté pour ma famille, mes amis et notre société.Pour notre intérêt commun. Contrairement à Robinson je ne pense pas que ce soit la providence qui soit à l'origine des événements mais plutôt l'action et la volontés des hommes pour arriver à leurs objectifs.
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