DissertationsEnLigne.com - Dissertations gratuites, mémoires, discours et notes de recherche
Recherche

La littérature d’idées et la Presse, du XVIe au XVIIIe siècles

Cours : La littérature d’idées et la Presse, du XVIe au XVIIIe siècles. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  13 Janvier 2020  •  Cours  •  1 232 Mots (5 Pages)  •  571 Vues

Page 1 sur 5

Objet d’Etude 2: La littérature d’idées et la Presse, du XVIe au XVIIIe siècles

Sequence III

Œuvre:Fables(1668-1694) Jean de La Fontaine (1621-1695) Livres VII à XI

Parcours: Imagination et pensée au XVIIe siècle

La Fontaine se marie avec Marie Hart en 1653 il eut des enfants mais il s’en occupera pas et il se sépare en 1659

Fouquet : intendant du Roi Louis XIV et devient le protecteur de La Fontaine en échange il lui fait des poèmes de circonstances

-Il se fait arrêter « lettre de cachet »

Colbert a servi de modèle pour la pièce de théâtre de Molière du bourgeois Gentilhomme avec le personnage.

Madame de la Sablière et Madame de La Duchesse d’Orléans et Madame d’Hervant était ses protectrices.

Boileau va dans un livre détaillé et résumé de la grammarturgie les règles de littérature

Roche Foucauld.

On a une querelle entre les Anciens et les Modernes

Il écrit des poème appelée des poésies précieuses

Pamflet contre Lully

On a une morale soit implicite ou explicite

Le Dépoſitaire infidele.

Grace aux Filles de memoire,
J’ay chanté des animaux :
Peut-eſtre d’autres Heros
M’auroient acquis moins de gloire.
[pic 1]

Le Loup en langue des Dieux
Parle au Chien dans mes ouvrages.
Les Beſtes à qui mieux mieux
Y font divers perſonnages ;
Les uns fous, les autres ſages ;
De telle ſorte pourtant
Que les fous vont l’emportant ;
La meſure en eſt plus pleine.
Je mets auſſi ſur la Scene
Des Trompeurs, des Scelerats,
Des Tyrans, & des Ingrats,
Mainte imprudente pecore,
Force Sots, force Flateurs ;
Je pourrois y joindre encore
Des legions de menteurs.
Tout homme ment, dit le Sage.
S’il n’y mettoit ſeulement
Que les gens du bas eſtage,
On pourroit aucunement
Souffrir ce défaut aux hommes ;

Mais que tous tant que nous ſommes
Nous mentions, grand & petit,
Si quelque autre l’avoit dit,
Je ſoûtiendrois le contraire.
Et meſme qui mentiroit
Comme Éſope, & comme Homere,
Un vray menteur ne ſeroit.
Le doux charme de maint ſonge
Par leur bel art inventé,
Sous les habits du menſonge
Nous offre la verité.
L’un & l’autre a fait un livre
Que je tiens digne de vivre
Sans fin, & plus s’il ſe peut :
Comme eux ne ment pas qui veut.
Mais mentir comme ſceut faire
Un certain Dépoſitaire
Payé par ſon propre mot,
Eſt d’un méchant, & d’un ſot.
Voicy le fait. Un trafiquant de Perſe,

Chez ſon voiſin, s’en allant en commerce,
Mit en dépoſt un cent de fer un jour.
Mon fer, dit-il, quand il fut de retour.
Votre fer ? Il n’eſt plus : J’ay regret de vous dire,
Qu’un Rat l’a mangé tout entier.
J’en ay grondé mes gens : mais qu’y faire ? un Grenier
A toûjours quelque trou. Le trafiquant admire
Un tel prodige, & feint de le croire pourtant.
Au bout de quelques jours il détourne l’enfant
Du perfide voiſin ; puis à ſouper convie
Le pere qui s’excuſe, & luy dit en pleurant ;
Diſpenſez-moy, je vous ſupplie :
Tous plaiſirs pour moy ſont perdus.

J’aimois un fils plus que ma vie ;
Je n’ay que luy ; que diſ-je ? helas ! je ne l’ay plus.
On me l’a dérobé. Plaignez mon infortune.
Le Marchand repartit : Hier au ſoir ſur la brune
Un Chat-huant s’en vint voſtre fils enlever.
Vers un vieux baſtiment je le luy vis porter.
Le pere dit : Comment voulez-vous que je croye
Qu’un Hibou pût jamais emporter cette proye ?
Mon fils en un beſoin euſt pris le Chat-huant.
Je ne vous diray point, reprit l’autre, comment,
Mais enfin je l’ay veu, veu de mes yeux, vous diſ-je,
Et ne vois rien qui vous oblige

D’en douter un moment apres ce que je dis.
Faut-il que vous trouviez eſtrange

Portugais

barroco:perle irrégulirères

européen

Baroque

Classicisme

Beau mouvement

Annotation

illusion

     imagination

liberté,origanilité

démésurée

Équilibre,harmonie

Société d’ordre

      raison

Mesure

On voit le péssimisme de La Fontaine

        moraliste

Il représente cette folie du mensonge

Les courtisans ne pensent plus par eux memes

        ilsont été habitué a mentir pour plaire

Theatre a « scene », métaphore filée « personnages », vers 13 et vers 2,5,6,7,8

A mon seigneur Le Dauphin a dédicacer

        avant le 1er livre echo dans la fable avec celle-ci

Le Boucheron et Mercure livre 5 fables 1 Esope et Homère qui sont des modèles pour la Fontaine

Tout le monde n’a pas le talent et d’Esope et Homere pour mentir

=Le lecteur n’est pas trompée !

Sur la scene des trompeur des scéléra

Il denonce le comportement de courtisans Il denonnce les derives de la monarchie on est dans la satire car elle utilise le rire pour faire apssser une critique

Introduction Oral :

Jean de la Fontaine,grand fabuliste du XVIIe siècle né en 1621 et mort en 1695,s’inspire de conteurs de l’Antiquité comme Esope et Homère. Il est surtout comme pour ses fables mais son œuvre mais son œuvre est multiple il dédie son œuvre de 1668 à 1693 et dédies aux dauphins. Comme les autres moralistes de son siècle,il dénonce les défauts de la société de son temps à travers la fiction. Dans la Fable « Le dépositaire infidèle »,il évoque  son art : dans les vers a 1 à 20, il présente les personnages de sa fable , et dans les vers 21 à 39, il parle du mensonge : Ceux des Hommeset ceux des créateurs.

...

Télécharger au format  txt (8.1 Kb)   pdf (368.1 Kb)   docx (267.3 Kb)  
Voir 4 pages de plus »
Uniquement disponible sur DissertationsEnLigne.com