La maison source de négativité

Synthèse :

La maison est un lieu d’habitat paisible et de sécurité pour de nombreuses personnes dans le monde mais ce n’est pas toujours le cas certaine personne se font menacer, se sente angoissé et leur séjour chez eux en devient un véritable enfer.

Le corpus nous propose le thème du sentiment d’effrois et d’angoisse dans une maison. Les documents étudiés sont un extrait du Conte « La Barbe Bleue » de Charles Perrault de 1697 qui parle de la femme du mari qui découvre derrières une porte, une pièce sombre et angoissante avec toutes les anciennes femmes du mari et la femme ne se sent plus en sécurité chez elle. Un passage de la pièce de théâtre « Huis-clos » de Jean-Paul Sartre de 1944 où Garcin se retrouve dans son nouveau lieu d’habitation de force mais le décor ne lui plaît pas et est en colère de sa situation. Un extrait de la nouvelle « La chute de la maison » d’Edgar Allan Poe traduit par Charles Baudelaire en 1884 ou l’apparence de la maison Usher et de son environnement lugubre donne un sentiment de dépression rien qu’en passant devant. Un article de presse du Parisien du 17/01/2018 de Sébastien Compagnon « Maison de l’horreur en Californie : ce que l’on sait de l’étrange famille Turpin » où les enfants de la Famille Turpin étaient séquestrés chez eux. Un deuxième article de Matthieu Maurer « La peur des maisons hantées a permis à l’espèce humaine de survivre : voici pourquoi » qui nous explique que la peur et des sentiments négatif dans un lieu nous fais réagir et quitter les lieux pour survivre.

La maison peut-elle être source de négativité ?

Premièrement nous allons parler que la maison peut être angoissant et en second qu’être chez soi n’est pas obligatoirement signe de bonheur.

La maison est considérée comme le lieu paisible et de bonheur mais pas dans tous les cas comme peut nous démontrer « le document 1 » après que la femme de la Barbe bleue est découvert le secret de son mari et des sentiments de peur et de panique lui pris (Elle pensa mourir de peur), elle ne se sentais plus en sécurité chez elle (Ayant remarqué que la

clef du cabinet était tachée de sang, elle l’essuya deux ou trois fois). On retrouve se même sentiment dans le « documents 2 » où Garcin ne se sent pas chez lui et angoisse de ne pas avoir ses objets du quotidien (Donc pas de brosse à dents. Pas de lit non plus. Car on ne dort jamais, bien entendu ?), le « Document 3 » nous montre la négative que procure la maison Usher a cause des son environnement et de son apparence lugubre (Les mur qui avaient froid -les fenêtres semblable à des yeux distraits, -quelques bouquets de joncs vigoureux, -quelques troncs d’arbres blanc et dépérir […] et je ne pouvais lutter contre les pensées ténébreuses qui s’amoncelait sur moi pendant que j’y réfléchissait.). « Le document 4 » nous montre la peur et la détresse en appelant des secours à la suite de leurs calvaires au sein de leur maison (c’est dans cette maison, située à Perris (Californie), que l’une des treize enfants de la famille Turpin, une fille âgée de 17 ans, est parvenus à appeler dimanche matin le numéro d’urgence 911.) Le « document 5 »