La mort du roi Tsongor

La mort de Roi

C’est une autofiction; Elle a pris des éléments de sa vie (mélange de sa vie et de la fiction)
Elle a un monstre à l’intérieur d’elle et la mort de Roi l’a fait ressortir  

Manque de sentiment et de tendresse. Une fois la mort de Roi, toute la haine et la jalousie reçoit d’un coup. La société joue un très grand rôle dans le personnage (p.12), (p.39) >Elle a un problème avec la haute institution. Elle s’accroche a son chien pour ne pas craqué.

Démontrer à l’aide d’exemple que le personnage n’est pas unidimensionnel : C’est rare qu’un personnage féminin agit avec une violence comme celle-ci de façon gratuite (elle n’a pas de raison de tué ces personnes-là). Elle n’est pas juste une psychopathe. Elle a cette violence-là en elle (le monstre), cependant, c’est une vrai personne qui n’a aucune émotion (elle en a trop). Elle est en deuil de la mort de son chien. Elle aime son conjoint, sa famille, son conjoint. Elle va bien psychologiquement (p.59-60) Elle n’est pas toute blanche et toute noire, elle regrette, c’est un lourd secret. Elle aime la nature. Elle enterre un mort mais fait attention où elle marche et plante des fleurs. Elle est malheureuse, a de la peine et veux mourir et en même temps elle est en colère (en tabarnak) et veux tuer tout le monde. Elle se limite dans sa criminalité. (p.109) P81

Sa première transgression : Elle fait semblant d’avoir une gastro, part de l’école et entre chez sa voisine. Puis elle va y retourner encore et encore jusqu’au jour où elle va ce faire prendre et envoyer au pensionnat.

Psychologie du personnage : Ce qu’on connait du personnage c’est seulement ce que le narrateur va nous donner, narrateur principal (narrateur au JE, à l’interne), on ne sait pas exactement pourquoi elle fait cela.

Retour en arrière (analepse) Nous permets d’avoir des information petit a petit, et comprendre selon le bon vouloir du personnage. On ne sait pas tout, on n’a pas plus information, on éclair le présent en revenant dans le passé.  

Choix de langue : Le français n’est pas normaliste, devrait être mixte. C’est un choix délibéré parce qu’elle s’exprime comme ça dans la vie. Ça n’a pas le même impacte sur la colère. Elle ne ressent pas le besoin de créé dans sa propre version du français et d’être plus près de son personnage, se rapprocher de son personnage et de son identité.

Critique de la société patriarcale (féminisme) : Les hommes dominent. (1 ou 2 extraits) on voit un personnage qui est grosse, influence les relations avec le regard que les autres. Pression de la société sur les femmes. (p.27). Le soin du corps, seulement les femmes. Elle tue seulement des hommes blanc hétéro. (P.38) (p.126)

Deuil : Elle parle de son chien avec beaucoup d’émotion. On ressent la douleur de la perte de son chien, elle a une douleur qui l’habite de partout. (p.38) (p.48-49) (p19) (p.90)