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Lecture analytique Voltaire

Étude de cas : Lecture analytique Voltaire. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  27 Mars 2020  •  Étude de cas  •  670 Mots (3 Pages)  •  641 Vues

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DELBECQ                                                                                1ère ST2S C

Léa

                                        Analyse linéaire

L.1 à 9 :

  • A la fin du premier paragraphe, voltaire fait référence à la Grèce et à l’Antiquité.

  • Voltaire utilise l’article indéfini « un » ce qui évoque un terme plus général et qui ne qualifie pas forcément l’affaire Calas. ( « un parricide » l.1, « un père de famille » L.2, « un juge » L.4)
  • Au début on a « devait » L.2, puis « devraient » L.2 et enfin « doit » L.3. On peut remarquer qu’il y a une évolution au niveau des propos de Voltaire, il passe du conditionnel présent au présent de vérité générale.
  • Présent e vérité générale
  • Le « nous » représente l’ensemble de la population
  • On peut comprendre que le verbe « oser » montre l’importance de la peine de mort ainsi que le fait que ce soit dur pour les gens de prononcer la peine de mort

L10.

  • Dans cette phrase nous devons comprendre qu’il était impossible que Jean Calas ait pu tuer son fils car il était beaucoup plus faible que son fils

L.10 à 12

  • Voltaire fait une description de Jean Calas en temps que « vieillard » (L.10), mais également comme quelqu’un ayant des difficultés à se déplacer à cause de sa vieillesse qui avait depuis longtemps les jambes enflées et faible » (L.11).

  • Voltaire décrit Marc-Antoine Calas comme un homme jeune « fils âgé de vingt huit ans » (L .11), et comme quelqu’un de très fort physiquement « qui était d’une force au-dessus de l’ordinaire » (L.12)
  • Ces deux descriptions forment une antithèse car il y a un contraste physique entre le père et le fils.

L.12 à 21

  • Voltaire cherche à faire réfléchir les lecteurs en posant des questions, pour cela il les interpelle. On peut constater qu’il ne parle pas à la première personne du singulier.

  •  Ce sont des questions rhétoriques
  •  Dans ce paragraphe on trouve de nombreuses anaphores « comment », « sans » et «il était évident que », le but de ces anaphores et d’instaurer une insistance.  Les proches donnent de nombreuses preuves pour innocenter Jean Callas, tout d’abord il est dit que physiquement c’était impossible à cause de la faiblesse Jean Callas, de plus un ordre affectif : une mère ne pourrait pas tuer son enfant, un ordre religieux : la servant étant catholique n’aurait pas pu le faire aussi, l’absence de preuves du voisinage ( pas de bruit ni de traces) et pour finir un ami est venu a ce moment là donc ce n’est pas logique

L22 à 25

  • La figure de style est un syllogisme

  • Le raisonnement que fait Voltaire dans ce paragraphe est un syllogisme c’est-à-dire un raisonnement entre deux prémisses. Mais celui de voltaire n’est pas efficace car pour lui tous les accusés sont coupables donc le père ne peut pas être le seul coupable mais son syllogisme est inefficace car le justice a condamné seulement le père

L.26 à 30

  •  C’est un registre pathétique car il cherche à provoquer la pitié

  • Le mot « vieillard » est repris pour une troisième fois car voltaire veut montrer la faiblesse de Jean Callas et ainsi donner au lecteur

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