Madame Bovary, Gustave Flaubert
Cours : Madame Bovary, Gustave Flaubert. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar nono26 • 29 Novembre 2018 • Cours • 1 121 Mots (5 Pages) • 1 385 Vues
Commentaire composé
Introduction:
période: écrit en 1851, paru en 1857
auteur: Madame Bovary de Gustave Flaubert écrivain français du 19ème siècle né le 12 décembre 1821 à Rouen
genre littéraire: projet d’écriture réaliste et satirique mais ne se revendique pas comme réaliste. Roman. Mettre en valeur, creuser, fouiller le vrai.
situation (avant 5 lignes + pendant résumé 2 phrases personnages et action)
problématique (les axes sont la possibilité de réponse)
plan/2 axes (1 axe = mis en relation de 2 thèmes)
Roman d’éducation. Un livre sur rien mais qui vous dit tout. Le livre s’ouvre et se ferme avec un rire.
Madame Bovary est la troisième œuvre de Gustave Flaubert, écrivain français du XIXème siècle. Écrit à partir de 1851 et paru en 1857, ce roman d’éducation présente des aspects réalistes et satiriques mais Flaubert ne se revendique pas pour autant réaliste. Son projet est de « fouiller » le vrai. + situation + problématique + axes
2) Développement:
2 paragraphes ( Reformuler axe 1, argument et ensuite exemplifié cet argument, mini conclusion en rapport avec l’axe, => idem pour l’axe 2)
A observer:
les figures de style:
comparaison (outil de comp)
métaphore (sans outil)
personnification/chosification (humanité à un objet ou inverse)
allégorie (idée abstraite mise avec majuscule comme un personnage)
métonymie (boire un verre) casquette est métonymie de charles
périphrase (le roi des animaux = le lion)
oxymore (2 mots opposés à côtés)
antithèse (2 idées opposées)
ironie
chiasme (ABBA dans une phrase)
litote (- ce n’est pas mauvais)
euphémisme (idée moins brutale => il nous a quitté)
hyperbole
anaphore (répétition d’un mot)
enumération
allitération (appuyer une sonorité)
champ lexical
métalepse (personnage entre dans l’histoire qu’il lit)
Qui parle? le narrateur (homodiégétique = personnage de l’histoire qui raconte, hétérodiégétique = raconte l’histoire mais en est absent, extradiégétique = personnage qui raconte n’est compris dans aucune histoire)Il s’agit souvent d’un narrateur omniscient qui sait tout sur les personnages, leurs pensées, leur milieu et leur époque. Mais le point de vue peut aussi être interne ou externe. Nous n’avons pas affaire à un narrateur-personnage mais à un narrateur qui suit les personnages en adoptant une certaine perspective.Dans Madame Bovary, on assiste pourtant à une mutation du narrateur en cours de récit. Homodiégétique dans les premières pages (Nous étions à l'Étude...), il disparaît rapidement, devient ainsi hétérodiégétique, pour réapparaître in extremis dans les dernières lignes du roman, qui sont au présent.
Qui voit? focalisation: interne, refuse de faire la psychologie des personnages, discours indirect libre, discours rapporté direct/indirect/indirect libre.
On dit qu’un texte est écrit en focalisation zéro lorsque le narrateur connaît tout de l’histoire, des personnages, de leurs pensées, de leur façon d’agir.
En focalisation externe, l’auteur se place en observateur extérieur. Il rapporte ce qu’il voit, ce qu’il entend, l’action telle qu’elle se passe. Cette façon de procéder laisse alors une plus grande part à l’imagination du lecteur.
En focalisation interne, le narrateur se glisse dans la peau d’un personnage pour donner ses points de vue, faire passer ses idées. Il décrit alors ce que voit, entend, pense ce personnage
-le discours direct qui reprend les paroles telles qu’elles sont énoncées ;
- le discours indirect qui est intégré au récit ;
- le discours indirect libre qui emprunte des caractéristiques à l’un et à l’autre des discours.
1. Les emprunts aux discours direct et indirect
Le discours indirect libre est l’intermédiaire entre le discours direct et le discours indirect.
Discours direct : « Non ! Je ne partirai pas d’ici, demain ! »
Discours indirect : Elle lui dit qu’elle ne partirait pas de là, le lendemain.
Discours indirect libre : Elle se fâcha. Non ! Elle ne partirait pas de là, le lendemain !
la temporalité: récit-description, récit-discours, présent de narration
1. L’imparfait
Est à l’arrière-plan tout ce que le narrateur considère comme peu important pour la compréhension de l’histoire (« C’était le mois de mai »).
La description fait partie des passages qui ne sont pas indispensables à la compréhension de l’histoire. On parle alors d’imparfait
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