Terre des hommes : Comment Saint-Exupéry à travers le récit célèbre-t-il la vie et l’humanité ?
Commentaire de texte : Terre des hommes : Comment Saint-Exupéry à travers le récit célèbre-t-il la vie et l’humanité ?. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar icea • 29 Janvier 2024 • Commentaire de texte • 312 Mots (2 Pages) • 222 Vues
- Description de l’homme
- Le sauveur
- Comparé à Dieu
- L’éloge de l’eau, la vie
- Eau
- Vie
- Eloge de l’humanité
- Langage
- Symbolique de l’homme
Problématique : comment Saint-Exupéry à travers le récit célèbre-t-il la vie et l’humanité ?
Intro partielle : L’auteur fait une description du bédoin, il le présente comme un sauveur et le compare à un être divin.
1ere sous partie : Alors écrasés dans un désert, le narrateur et son mécanicien sont perdus. Au loin, les hommes aperçoivent un bédoin en haut d’une dune et ils l’appellent à l’aide. Au début, il semble ne pas entendre et voir les rescapés, alors « sans hâte, il a amorcé un quart de tour » ; c’est à ce moment que Saint-Exupéry reprend espoir. Par la suite, le nomade libyen les soulagera de « la soif, la mort et les mirages », démontrant qu’il est « baigné de noblesse et de bienveillance ». à la suite du texte, la description du bédoin se fait de plus en plus précise. L’homme qui n’est d’abord considéré comme « un autre arabe », devient rapidement « l’Arabe », montrant ainsi que le bédoin devient un être unique et différent aux yeux des survivants avec l’utilisation de l’article défini « l’ » à la place de l’article indéfini « un ».
2eme sous partie : Par ailleurs, le nomade pauvre accède au statut de divinité par le biais de son geste salvateur. Saint-Exupéry parle même de miracle pour qualifier ce grand seigneur qui leur a offert de l'eau, denrée vitale dans les conditions désertiques extrêmes. A cet instant, l'homme devient « archange » qui en plein danger, protège de la mort les deux malheureux. Saint-Exupéry multiplie donc les références au monothéisme pour qualifier celui qui devient leur héros. Parallèlement, l'auteur use d'une comparaison puisqu’il le voit désormais « comme un dieu sur la mer », tel un Poséidon des sables.
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