Commentaire La Peste

es forces, le corps immobile » (l.28) , avec le verbe « serrer », qui exprime son désaccord de son sort, bien que, il soit en retard de faire quoi que ce soit, mais aussi qui pourra pas bénéficier du soutien de son père, le juge d'instruction . En ce qui concerne son père, on a pas eu plus d'information, « Avez-vous des nouvelles du père ? » (l.39), ce que Rieux a répondu négativement . On pourrait donc, envisager que son père ai laisser son fils face a cette maladie, ce qui rend la tache insoutenable, plus atroce pour le fils, qui n'a plus de repère . On peut constater que cette souffrance est omniprésent, même lorsque, il peut y avoir, quelque moment de relâchement de la maladie, ce qui rend plus douloureux pour le jeune Othon, « Il se détendit un peu, la fièvre sembla se retirer et l'abandonner » (l.64-65), la fièvre ici, peut être trompeur, car il ne s'agit pas uniquement de la peste, c'est probablement, la chaleur qui est en voie de partir, mais qui pourrait être remplacé par le froid, donc c'est plutôt contradictoire .

Le jeune Othon vit une scène insoutenable, il est tout proche de la mort, « les yeux fermé » (l.28), « le corps immobile » (l.29) et « le repos ressemble déjà à la mort », (l.66-67) etc .

Sont corps est immobile, ce qui laisser présagé, une présentation d'un mort, une personne couché sur son lit de mort, et avec l'odeur qui peut dégagé « une odeur de laine et d'aigre sueur » (l.46), car les morts se doit de émettre un odeurs désagréable . Le jeune Othon n'est finalement pas sorti, de cette maladie, son état devient critique « aveugle et muet » (l.48) avec, l'emploi du rythme binaire, qui montre une double souffrance du jeune Othon .

Autour de cette scène attristé, cette retranscription d'une scène insoutenable, il y a, malheureusement un combat inégal entre la maladie et l'Homme . Cette impuissance humaine face au mal, une mort sans issu . Malgré, quelque tentative, comme par exemple, le sérum de Castel, qui au final, n'a pas aidé . L’Homme est impuissant face a cette maladie, quel que soit sa classe . La peste a frappé le fils du juge d'instruction, et il doit mourir, et il y aura malheureusement, pas d'autre solution . Le fait qu'il a la peste contredit Paneloux, car ce dernier, disait que c'était juste les pêcheurs qui auront la peste, alors que le fils Othan l'a, donc qu'on soit bon ou mauvais, tout le monde peut être atteint de la peste, et voire, mourir de la peste .

La peste est touché par tout le monde, soit directement, avec le jeune Othon qui voit sa vie basculer, alors qu'il ne peut rien y faire, soit comme Rieux et Castel, qui font des recherches pour lutter contre cette maladie, hélas aucune solution stable n'a été trouvé . Mais la Peste est décrit comme un désastre sans précédant, il y a une forme de tragédie, avec le « vaincu d'avance » (l.5), qui montre que le combat contre la maladie était déjà perdu d'avance, qu'on pouvait rien n'y faire . Bien que, on a voulu l'injecter quelque produit, cela a eu aucun effet sur l'enfant, « sans obtenir une seul réaction de l'enfant » (l.8), le garçon avait déjà sceller son destin, ce n'était maintenant juste une question de temps . Castel montre bien l'impuissant avec son action, « Castel lisait, avec toutes les apparences de la tranquillité » (l.16), il n'avait guère eu allusion de soutenir le jeune Othon .

De plus, « une expression douloureuse se lisait sur son visage » (l.21) a propose de Paneloux, qui lui, avait de l'angoisse pour le destin du jeune Othon . Mais lorsque, Rieux, aussi, a l'arrivé de Grand l'a montrer très brièvement « Sans mot dire » (l.27) , une forme de défaite personnel de Rieux . Tandis que Rambert, avec le regard lancé a l'enfant, n'a pas continuer son action de fumer « après un regard a l'enfant, il remit le paquet dans sa poche »

(l.34) . Rieux et ses compagnon avaient plus une chose a faire, c'est d'attendre en le regardant, « il ne quittait pas des yeux le petit malade »