Commentaire de la fin du « lit 29 » de Maupassant

Commentaire de la fin du « lit 29 »

Introduction

        Maupassant est un romancier-nouvelliste français du XIXe siècle qui met en scène dans ses récits des drames intimes.

Dans son recueil Toine, il raconte, durant la guerre franco-prussienne, les sorts de protagonistes face a l’adversité.

        « Le lit 29 » traite des amours tumultueuses du capitaine Epivent et de Irma Pavolin. En effet l’extrait proposé représente la scène de rupture entre les deux amants.

        Nous verrons en quoi cette scène finale est dramatique.

        d’abord, nous analyserons les reproches adressés dans cette dispute ; ensuite nous montrerons que cet échange est a sens unique et nous examinerons enfin la tensions dramatique qui règne dans ce passage.

Plan détaillé

I. Une rupture truffée de réprimandes

        a. Émotions et ressentiments

                i. Citation (2) à développer et à expliquer

        b. Attitudes et comportements

                i. Citation (2)

II. Un discourt a sens unique

        a. Revendications et imprécations

                i. Citation / figure de style (elle eu une sorte d’étouffement, échange difficile « elle ne se taisé pas, elle ne l’écoutait pas ») / (litote « si qql a des reproches a me faire ce n’est pas toi » ;  répétition dé « ça » qui est très insistant et Maupassant veut montrer la popularité des personnages)

        b. Intégrité et Honneur

                i. Citation / figure de style (répétition de honteux, risée, etc … )

III.La tension dramatique

        a. Un rythme accéléré

                i. Enchaînement des répliques

        b. Une fin épique

                i. Irma, une authentique héroïne  

Conclusion 

        En définitive, la tension dramatique atteint son paroxysme dans cet échange entre les deux principaux protagonistes.

Pourtant, Irma s’érige en héroïne et le revendique haut et fort. Les femmes, dans les nouvelles de Maupassant ne sont pas seulement frivoles, inconsistantes ou des prostituées.

        Le personnage d’Epivent représente a lui seul l’intrigue de la nouvelle qui, avec cette fin, est    démantelé et repart humilié et vaincu ; ce qui montre la désillusion systématique présente dans les nouvelles de l’auteur.