Corpus sur la santé
Étude de cas : Corpus sur la santé. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Océane Gorse • 17 Mars 2020 • Étude de cas • 852 Mots (4 Pages) • 500 Vues
Questions Corpus
- « La santé c’est une marge de tolérance des infidélités du milieu. » En vous appuyant sur l’exemple de la femme qui ne peut se ménager ou sur d’autres exemples donnés dans le texte, explicitez cette phrase.
Tout d’abord, dans le second texte on nous parle d’une femme qui a pour ordre du médecin de se ménager. Elle dit « Me ménager c’est bien facile à dire, mais j’ai mon ménage » l.18. Ce qui montre qu’elle ne peut pas délaisser tout de côté en se reposant car qui fera son ménage, ses courses, raccommoder le soir le pantalon déchiré de son enfant qui est au lit, aller chercher le pain,… etc. La santé c’est avant tout prendre soin de soi mais si l’on délaisse les tâches qu‘on devait faire à ce jour, qui les fera à notre place ? Dans ce texte on nous montre que la femme à un rôle « secondaire » dans le milieu de la vie.
2. D’après le texte, en quoi le fait d’être malade peut-il être considéré comme un état normal (qui est relatif aux normes)?
Le fait d’être malade est considéré comme un état normal car le corps est fort et performant mais il possède des limites qui nous apparaissent lors d’accidents ou bien de maladies. La maladie est égale à la pathologie et la pathologie c’est être sain et être normal, c’est en autre être ‘normal’. On reste normal, dans un milieu et un système d’exigences données, avec un seul rein. Mais le problème c’est qu’on ne peut plus se payer le luxe de perdre un rein, on doit le ménager et se ménager. Pour apprécier le normal et la pathologie il ne faut pas limiter la vie humaine à la vie végétative.C’est dont au-delà du corps qu’il faut regarder pour apprécier ce qui est normal ou pathologique pour ce corps même.
- Quel est le lien ici établi entre le corps et l’esprit ? Lequel des deux apporte un frein à la vie du narrateur ?
Le lien établi entre le corps et l’esprit est celui de la libido qui assez intense car le narrateur qui le décrit lui-même parle de divorce par consentement mutuel. Il parle également de « Combat inégal » l.6. Il compare sa libido comme à un personnage vivant, un partenaire essentiel. Celui qui apporte un frein à la vie du narrateur est l’esprit car, il se met lui-même des « barrières » pour ne plus penser à sa libido ainsi qu’il compare sa libido à une « voiture » on pourrait penser car il dit : « la mécanique est définitivement en panne » l. 17, « Elle est abîmée comme tout le reste » l. 24.
2. Décrivez la réaction du narrateur face à son absence de libido. Qu’en pensez-vous ?
Le narrateur se sent seul, perdu et désemparé sans sa libido. Il éprouve un réel « manque ». Et lui fait même ses adieux et se demande si : « La vie sans libido est-ce encore une vie ? ». On voit bien que le narrateur à un manque comme il le répète plusieurs fois : « Le manque est là comme la couleur du bras fantôme » l.41, « Le manque hantera mes nuits, brutal, béant, cruel. » l.43.
Je pense que le narrateur en fait un peu de trop, après chacun est libre de penser ce qu’il en veut. Le narrateur compare vraiment sa libido à un personnage vivant alors que la libido à la base est juste un désir sexuel. Nul ne sait si le narrateur va s’en remettre.
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