Dissert Gratuit

j’accouru dans sa chambre, et la une scène d’horreur considérable m’apparût, ma mère morte sur son lit, elle m’avait écrit un mot posé sur sa table de chevet. Ce mot disait : « ma fille, ces dernières années ont été les pires de ma vie, mais grâce a toi j’ai su garder espoir jusqu’au bout, et je t’en remercie, il ne faut pas que tu relâche tout espoir de revoir ton père un jour, et quand ce jour arrivera de là- haut je t’enverrais mille baisers. Je t’aimerais jusqu'à la fin des temps, adieu. » J’ai su par la suite que ces mots elle me l’avait écrit plusieurs jours avant sa mort, sa cause ne m’est toujours pas connu. J’ai au début perdu confiance en tout, mais par la suite j’ai su que jamais je ne baisserai les bras devant une tel épreuve.

Pendant un an je vivais seul, je n’avais que 13 ans quand ma mère est morte, je me suis prises en charge toute seule.

C’est alors, que le samedi 9 novembre 1989, Je venais d’avoir mes 26 ans quand le mur s’est écroulé devant les yeux de milliers d’allemand et j’étais présente ce jour là, pendant une heure j’attendis que mon père accourt vers moi et me sert dans ses bras, mais personne. Donc, je suis rentré chez moi le cœur pleins de tristesse, mais sur la route j’entendis des bruits de pas, quelqu’un courais les pas se sont arrêté juste derrière moi, et m’interpella, je reconnu cette voie roque, c’était celle de mon père, il me sera fort dans ses bras, me demanda ou maman était je levis mes yeux au ciels, et, il compris et me serras encore plus fort. Je n’en revenais pas ce jour marqua la fin de plusieurs années de consternation.

Le lendemain de cette soirée nous faisions nos valises et partîmes vivre sur les îles ou nous nous avons fait notre vies, en restant très proche, et en pensant toujours a la femme qui nous a fais sourire jusqu’au dernier jour, maman.

Mémoire d’Anaïs Douchet pendant la construction du mur de Berlin.