Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 1782
Cours : Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 1782. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar j.mqll • 17 Mars 2023 • Cours • 331 Mots (2 Pages) • 406 Vues
Comment se conduire en pareil cas ? Faut-il sacrifier l'utilité de l'absent à celle de la
personne à qui l'on parle ? Faut-il taire ou dire la vérité qui, profitant à l'un, nuit à l'autre ?
(...] il ne s'agissait pas de pronom sil serait bon de dire toujours la vérité, mais si l'on y étai
toujours également obligé,
Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 1782
1 . L'interrogation directe.
Elle est marquée par une intonation spécifique (ascendante) et par un point
d'interrogation.
On emploiest-ce que ou on inverse le sujet et le verbe.
Interrogation totale
Porte sur TOUT l'énoncé et se répond
par oui ou par non.
Ex: Faut-il être sincère ?
Est-ce qu'il faut le faire ?
Interrogation alternative
Donne le choix à plusieurs réponses,
séparées par ou.
Ex: Rousseau est-il sincère ou
ment-il?
Interrogation partielle
Porte sur un aspect précis : personne,
lieu, etc.
Commence par un pronom interrogatif.
Ex : A qui Rousseau parle-t-il ?
Pourquoi hésite-t-il?
2. L'interrogation indirecte.
Elle prend la forme d'une proposition subordonnée interrogative indirecte et sera
le COD du verbe de question.
L'interrogation totale est introduite par si.
Ex : Il ne sait s'il est sincère.
L'interrogation partielle fonctionne comme l'interrogation directe mais on n'utilise
jamais est-ce que.
Ex: J'ignore à qui il parle / Je ne sais pas ce qu'il dit.
Le sens des interrogations
La question rhétorique :
Ex; Ne nous a-t-il pas menti ?
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