La princesse de Clèves

Analyse linéaire : 

Mme de Lafayette publie anonymement la princesse de Clèves en 1678, son oeuvre raconte les plaisirs de la cour, il conte l’histoire de mademoiselle de Chartes une jeune femme de grande vertu se mariant avec le prince de Clèves sans éprouver de sentiments amoureux, après s’être mariée mme de Clèves tombe passionnément amoureuse du Duc de Nemours sa fidélité sera alors mise à l’épreuve.

Dans cette extrait du roman le Duc de Nemours viens voir la princesse de Clèves qui refuse de lui parler, il l’observe alors sans qu’elle le sache et sans lui même savoir qu’il est observé.

                 Comment la narratrice souligne-t-elle dans cette scène l’intensité et la réciprocité de la passion amoureuse du duc et de la princesse ?

Premier mouvement : la vue de mme de clèves 

« Toutes les fenêtres étaient ouvertes » la possibilité que le duc soit vu par la princesse est très grande

« Il vit beaucoup de lumière » « voir ce que faisait mme de Clèves » « Il vit qu’elle était seule » « il la vie d’une si admirable beauté » « vue » la scène est racontée du pointe vue du duc de nemours, il décrit la scène et permet au lecteur de voir lui aussi la scène il montre également l’intérêt que porte monsieur de nemours à voir la princesse.

Deuxième mouvement : l’effet de cette vue

La princesse est décrite comme étant « d’une admirable beauté » la vue de cette femme qu’il aime si passionnément le transporte, il est heureux rien qu’a sa vue «  il faisait chaud elle n’avait rien sur satête et sa gorge » la nudité de le princesse peut également faire bruler le coeur du duc face à cette beauté lui faisant perdre ses moyens.

Troisième mouvement : la réciprocité des sentiments de la princesse  

Pendant qu’elle est seule la princesse noues des rubans à la canne des Indes de monsieur de nemours qu’elle a récupéré la soeur de ce dernier, elle choisi les couleurs qu’il a porté au tournoi, les couleurs qu’elle aime le plus le jaune et le noir comme elle ne peut pas avoir le duc la princesse se contente d’objet lui appartenant ou lui rappelant la passion qu’elle éprouve.

Cette intérêt que mme de Clèves a pour cette activité prouve très clairement l’inclinaison qu’elle porte à l’égard du Duc.

La princesse est décrite comme pleine de grâce et de douceur « qui répendait les sentiments qu’elle avait dans le coeur », ce sont donc ses sentiments qui la rendent encore plus belle, quand il n’est pas là ses pensées ne font que pencher vers lui, elle regarde même le tableau de son portrait.

Cette scène où elle est observée et ne le sait prouve la sincérité de ses sentiments car elle se montre telle qu’elle est vraiment dans son intimité , ce qui, sans aucun doute renforce le lien des deux personnages qui tous les deux ont une très grande considération l’un pour l’autre.