Le Pin Des Landes

La description d'un paysage

La 1er strophe décrit le paysage a travers les yreux de l’auteur.

Le champ lexical de la faune et la flore est présent dans les trois première strophes:

Désert, Sahara, sable, herbe, eau, arbre, résine, tronc,pin.

Le poète veux nous emporter loin dans son image d’un monde de l’au-delà.

Il décrit ce qu’il voit lors de son voyage en Espagne. La sècheresse, la chaleur sont les caracterisques que l’auteur ressens lorsqu’il écrit ce poème.

B. La personnification du pin des Landes

Il se représente lorsqu’il décrit le pin des landes, la personification se fait lors des trois dernières strophes. Dans la 2eme strophe il personnifie l’homme en pin :« ses larmes de résine » « son tronc » Dans la 3eme strophe il il fait le contraire c’est à dire qu’il personfi le pin en homme : « son sang qui coule » « se tient toujours droit » il fai une comparaison par rapport a l’homme mais plus précisément par rapport à lui « comme un soldat blésse qui veut mourir debout »

Puis dans le dernier vers il parle de lui-même et du trésor qu’il garde en lui c’est à dire la beauté que lui seule a ce moemnt donné admire.

II) La souffrance et la poésie

A. Blessure et souffrance

Durant tous le long du poème le champ lexciale de la souffrance est présent :

« larme, assasine, douloureux,sang bléssé, mourir, blessure entaille »

ce poème fait retranscrire les sentiments du poète, il souffre il a mal, il est triste.

Le pin est un arbre tres impressionant il a donc voulu représenter l’homme par cette nature.

B. Blessure et création

La fin du poème se termine sur de la joie, la ponctuation l’exprime avec : « ! »

Il nous fait comprendre que lorsque le poète est triste, qu’il souffre il peut sortir ses sentiments et écrire ses vers alors que losque le poète est joyeux « il garde son trésor » c’est à dire qu’il na pa besoin de se dévoiler de se confier.

Ce poème présente le poète comme un héros maudit et la poésie comme la la vie sentimentale de l'auteur.Toutefois, la grande rigueur de sa forme, la parfaite clarté du symbole, annoncent déjà le symboliste, le "styliste du vers", le "poète impeccable" qu'admirait Baudelaire et à qui il dédiera les Fleurs du mal.