Le loup moraliste, Voltaire

Voltaire donne un rôle à ses personnages, en effet, il stéréotype le rôle du loup en appuyant les verbes à l'impératif, afin d'insister sur les conseils contraire à la vie d'un loup normal dans la vie de tous les jours, qu'il donne à son fils. L'oxymore (V4 « honnête loup ») sert à rapprocher les 2 termes qui ne sont normalement pas associer, car, un loup dans la littérature est connu comme malfaisant et cruel. Voltaire fait une évolution du loup au fur et à mesure de la fable, il est d'abord montré comme sympathique et attentif, manifestant une inquiétude pour la société (V.16 « malheureux moutons », V.18 « immondes agneaux ») et au fil des écrits, il démontre la vrai personnalité du loup en lui associant des mots cruels et féroces (V31 et 32 « dégouttait de sang », « gueule », « sang »).

De part sa fable, Voltaire, comme à son habitude souhaite émettre une satire, c'est-à-dire une caricature de la réalité, plus spécialement une satire sarcastique.

Dans ses vers, Voltaire émet une critique de la société

oltaire, habituellement connu pour écrire des contes philosophiques, a écrit une fable intitulé « Le loup moraliste » parue en 1761. Ce style d'écriture n'était normalement pas connu chez Voltaire, mais il est évident pour lui que cela resté le meilleur moyen pour lui de pouvoir livrer à ses lecteurs une satire des prêtres et de l'hypocrisie religieuse. En effet Voltaire, représentant des philosophes des lumières, est connu pour son combat contre le fanatisme religieux, la tolérance et la liberté de penser, représentait dans ses œuvres son grand combat.