Les bonnes, Jean Genet

DRUEZ

Gatien

2H

        Dans ce commentaire nous tacherons de démontrer en quoi le dénouement de la pièce «Les Bonnes » écrite par Jean Genet fait preuve de tristesse, de confusion et d’épuisement. Tout d’abord nous verrons en quoi ce dénouement relève une énorme métaphore sur la mort des bonnes puis en quoi en quoi la fin est d’une complexité surprenante.

        Dans cette partie nous verrons en quoi la mort prévue des bonnes est détourner et imaginé par leurs esprit.

        Durant le dénouement, Solange vois son enterrement et sa mort avec sa sœur de manière utopique comme le montre de « Descendre le grand escalier […] je vais mourir ». Dans cet réplique, on pourrait presque sentir la joie de Solange de mourir, elle est contente et ne cache aucun détails. Cependant, elle est aussi terrifiée à l’idée de mourir. Elle a une vision très utopique de sa mort et ne pense même pas au bagne. Elle ne pense pas au bagne car les éléments de la mort sont en faits une métaphore qui représentes les éléments de la maison de madame et le bourreau n’est autre qu’une métaphore pour désigner le poison.

        Ensuite, la fin de la pièce recèle un champ lexical de l’épuisement « morte de fatigue », « pâle », « faible », ce champs lexical montre clairement qu’elles sont épuiser, qu’elles sont prête a s’effondrer de fatigue. Mais, elle lutte quand même contre cette fatigue jusqu’à la dernière bataille. Le poison leurs à ôté cette douleur et leur à épargner cette douleur. A la fin, elle nous reperdent pour la dernière fois en jouant leurs rôle de madame et de bonnes pour la dernière fois.

        Pour conclure, ce dénouement emmène sur une fin tragique mais belle. Jean Genet essaie quand même de nous reperdre