Les totalitarismes
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En Italie, Mussolini fait une conquête légale du pouvoir avec son parti (parti fasciste) en 1921 avec la marche sur Rome en 1922 il est nommait chef du gouvernement par le roi d’Italie et remporte les élections en 1924 face aux démocrates et communistes.
En Allemagne, avec également une conquête légale puisque le parti nazi appelé le NSDAP d’Hitler qui remporte les élections législatives en 1932. Il est le premier parti et Hitler devient chancelier en 1933.
- Instauration des dictatures :
En Russie, Lénine instaure la dictature du prolétariat et de la partie bolchévique qui devient le parti communiste et dans un contexte de guerre civile, il impose la terreur et supprime les libertés. Il crée d’ailleurs l’URSS en 1922.
En Italie, pour la « grandeur de l’Italie » Mussolini utilise la violence militaire (avec sa milices appelé « faisceau de combat ») contre ses opposants, truquage des élections et obtient les pleins pouvoirs.
En Allemagne, Hitler s’appuie sur ses groupes paramilitaire (S.A = Sexions d’assaut) et profite de l’incendie du Reichstag pour supprimer les libertés (expression, presses censurées, de réunions,…) et prends les pleins pouvoirs.
Point commun de ces dictatures : La violence.
Lénine comme Mussolini avec ses « faisceau de combat » et les S.A pour Hitler.
2) Les bases idéologiques
- Les totalitarismes ont un projet commun, créer une société nouvelle qui nie les libertés de l’individu. Il appartient aux communautés que ce soit le prolétariat en URSS à l’Etat en Allemagne avec la race aryenne. L’Homme nouveau, c'est-à-dire, le prolétariat performent ou le guerrier allemand, ou l’athlète italien viril, doit adhérer à se projet grâce à la propagande à travers l’art (sculpture), le cinéma, la radio, la presse etc.
Un point commun essentiel : le devoir de se soumettre à l’intérêt général (définie par le partie et le chef)
- D’après le titre, il y aune transformation de la société mais aussi de l’économie comme de l’URSS de Staline, arrivé au pouvoir en 1924, il veut créer une société égalitaire où il n’y a plus d’écart de richesse ou de propriété privé.
En 1928, il met en place un plan quinquennal afin de développer la puissance industrielle et il valorise le stakhanovisme. En 1929, il lance la collectivisation pour développer l’agriculture à travers la mise en commun des moyens de production à travers les kolkhozes. Cette politique est un véritable succès pour l’industrie sidérurgique et l’industrie lourde mais l’agriculture reste en source, famine meurtrière, 5 à 6 millions de mort en URSS. Les paysans essaient de s’opposer à cette politique, cachent leur récolte, ils subissent alors des répressions
- Le nazisme à une spécificité idéologique : le nazisme, les rares selon lui sont différente par le sang, le peuple allemand Volk est (selon les discours) à l’origine de la civilisation car il est consistué de la race aryenne que les nazies essayent même d’améliorer. Elle est considérer comme la race supérieur et pratiquent l’eugénisme, c'est-à-dire qu’ils l’améliorent en supprimant les handicapés, homosexuels etc.
Ce peuple doit dominer les Juifs jugés responsable de toutes les difficultés avec tous les stéréotypes d’infirmité : la crasse, la vermine etc.
Au départ c’était un simple boycott dès 1933, mais en 1935 les lois de Nuremberg leur interdise certains emplois, leurs bien sont confisqués et subissent des violences. Ces violences atteignent leur paroxysme (=maximum) avec la « Nuit de Cristal » novembre 1935. A la suite de ces évènements 38 000 juifs sont envoyés dans les camps.
3) L’exercice du pouvoir totalitaire
- C’est trois totalitarisme ont en commun le culte du chef considéré comme un sauveur ayant une autorité charismatique. C’est pourquoi ils concentrent tous les pouvoirs (exécutifs, armée ; législatifs, à la tête d’un peuple) ainsi le chef est comme un guide à qui l’ont dois une obéissance absolue, d’ailleurs dans les années 30 des serments de fidélité populaire se multiplie envers le « petit père des peuple » envers le « Duche » et envers le « Führer »
- Les sociétés sont encadrées, car le pouvoir veut contrôler et diriger la population. D’ailleurs, la jeunesse est endoctrinée dans les organisations comme le Komsomol Urss, Balilla et les fils de la louve Italie, Jeunesses Hitlérienne Allemagne.
Elles ont en commun d’embrigader les jeunes de 4 à 21 ans grâce à la propagande et l’organisation de parade souvent militaire pour en faire des modèles d’hommes nouveaux (Guerriers, athlètes) De plus, ces régimes ont souvent un ministère de la propagande qui utilise l’art et la culture pour programmer la population à une éventuelle grève, Goebbels (JO de 1936 en Allemagne)
- Ce sont des régimes de terreur car il surveille la population en effet tout ennemi est réprimé. Par exemple en Allemagne un allemand marié à un juif, un communiste ou quelqu’un qui se serait opposé à un SS. En URSS ça peut être les koulaks (petits paysans dans les campagnes qui détestent Staline). Ils sont arrêtés par le NKVD et la Gestapo sont chargés de traquer les opposants. Ils peuvent les arrêter, les torturer, les condamnés à mort ou les envoyer dans les camps de concentration et soumis au travail forcé. Les prisonniers envoyés dans les camps appelé Goulags en URSS non pas le droit à une justice équitable c'est-à-dire un procès dans un délai raisonnable ou ils peuvent rarement se défendre. D’ailleurs de 1936 à 1938 Staline purge le parti communiste en organisant des procès à Moscou qui ne sont que des parodies. Près 1 500 000 personnes seront arrêtées, 1 000 000 condamnés. En comparaison seulement 6 000 personnes condamnées en Italie.
En conclusion, toute tentative de résistance est réprimé par la violence sans oublier la censure quotidienne qui s’exerce sur la presse, la radio, le cinéma et les autodafés.
II – Les totalitarismes face à la démocratie dans les années 30
1) Les adversaires résolues des démocraties
- Les totalitarismes se montrent hostiles au règlement de la première guerre mondiale, car il rejette l’ordre international imposé par le traité de Versailles. Pour l’Allemagne, ce traité est considérée comme un dictat qui empêche le peuple Allemand d’avoir son « espace vital » c'est-à-dire un seul empire appelé le Reich
- Ils veulent déstabiliser les démocraties car ils les perçoivent comme des régimes qui défende par l’absence de droit des individus, de non respect des procédures par un pouvoir centralisé antiparlementaire autoritaire et violent. D’ailleurs il y a des partis fascine qui naissent en France et aux Royaume-Unis
2) Les atteintes à l’ordre de Versailles
- Première alerte donné à la démocratie comme il estime que le traité de Versailles est un diktat, Hitler va le violer en restaurant un service militaire, il installe troupes à la frontière Ouest en Rhénanie. L’Italie elle-même se veut impérialiste puisque elle se lance à la conquête de l’Ethiopie en 1936 dans le but de se tailler n empire coloniale.
Contrairement à la SDN qui devait faire respecter la frontière et la souveraineté des Etats.
Face à cette politique extentioniste des totalitarismes, les réactions des démocraties sont insuffisantes par exemple la France ne peut pas agir seule car le Royaume-Uni ne veut pas se lancer dans une guerre, ils préfèrent « l’apeasement »
- La guerre d’Espagne marque un tournant, en effet en 1936 un front populaire espagnol remporte les élections sauf que la France fait un coup d’état militaire, cela provoque une guerre civil.
L’Europe à peur d’une extension du conflit d’autant plus que le principe de non intervention n’est pas respecté par l’Allemagne et l’Italie qui envoient 6 000 hommes (légion condor) à Franco. L’URSS également envoie des armes à l’Espagne républicaine. Les démocraties britannique et française reste « aveugle » même si elles connaissent la situation, elles n’interviennent pas, seul quelques volontaires se battent au coté de la République. Un artiste engagé dénonce les horreurs de cette guerre c’est Pablo Picasso dans son œuvre Guernica.
3) La marche à la guerre : les démocraties impuissantes
- On assiste à l’expansion de l’Allemagne en Europe avec dès mars 1938 l’Anschluss, (annexion et « raccordement » de l’Autriche) puis en septembre 1938, les accords de Munich accorde à Hitler une partie de la Tchécoslovaquie appelé les « Sudètes ». Les dirigeants de ce pays n’ont pas
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