Molière, Don Juan

L22 à 37 : L’auteure s’appuie sur des témoignages comme celui « d’une ouvrière qui est à la chaîne »l22. L’expression « le dernier degrès de l’avilisement »l25 est soutenue et rappele que Simone Weil est une philosophe, elle essaie donc de trouvber les causes de « cet esclavage » les raisons en sont économiques et sont résumées dans le parallèlisme antithètique « la responsabilité est collective et la souffrance est individuelle »l35. Pendant la période faste, tous patrons  et ouvriers  ont acceptés des primes aux rendements mais quand la situation s’est dégradé le  rendement est resté et entrainé la souffrance que personne n’a constesté comme un « engrenage »l35, une sorte de fatalité tragique<

A partir de l37 l’auteure s’implique de nouveau comme l’annonce  le « quant à moi », le terme « souffrance » est employé plusieurs fois dans ce § car l’idée essentielle ressortant de son analyse est le pathétique de la condition ouvrière mais SW a une honneteté intelectuelle car elle reconnaît « qu’[elle] ne les ressent pas comme [s]iennes » en tant que philosophe elle a conscience  d’avoir un statut privilégie : ce n’est pas elle qui continuera a souffrir

                                        Question Don Juan

« Je dois t’avouer qu’un autre objet a chasser Elvire de ma pensée » On voit par là que Don juan s’intérresse fortement aux femmes, ces dernières étaient dans son esprit plus importante, Don juan n’a que ca en tête, c’est remarquable par l’expression « il se plaît à se promener de liens en liens, et n’aime guère à demeurer en place » on comprend ici que Don Juan  aime les femmes aux sens larges, il ne se satisfait guère que d’une seule.

Don Juan dans la phrase suivante « qu’on renonce au monde pour lui, et qu’on ait plus yeux pour personne » utilise une circonstance atténuante afin d’essayer de faire passer son acte et son goût pour les femmes comme une chose totalement normale.

« Toutes les belles ont le droit de nous charmer » deuxième circonstance atténuante où il nous fait comprendre que celui pas lui qui charme les femmes mais que c’est lui même Don Juan qui en est victime.

« La beauté me ravit partout ou je la trouve et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraine » cette phrase est en accord avec la circonstance atténuante citée précedemment où il est victime des femmes par le fait où il cède facilement.

                                        Don Juan

                                        Acte I scène I

1)Les deux valets : La mention d’Aristote est un anachronisme prouvant que sganarelle est un pédant c’est à diren qu’il veut briller par son savoir mais se trompe, en réalité il îmite son maître, psstitacisme=imiter comme un perroquet. « l’on apprend avec lui à devenir honnête » en réalité c’est une antiphrase, en effet le tabac  est condamné par l’église. Il imite Don juan. De manière implicite Molière annonce déjà  le libertinage philisophique de Don Juan qui s’élève comme