Quels Sont Les Problèmes Et Les Conséquences De l'Abandon Scolaire

t de mauvais résultats scolaires, ils n’écoutent que rarement en classe ou ce sont des élèves qui se font constamment réprimander.

Donc, la situation financière des parents influe sur la décision de quitter ou non l’école.

La famille joue, elle aussi, un rôle important dans ce processus. Dans la plupart des cas, on croit que les parents sont les premiers responsables. Ceux-ci perçoivent l’abandon scolaire de leur enfant comme un échec tandis que pour le jeune, c’est la seule solution possible. Par contre, si le jeune vit des problèmes familiaux ou que ses parents l’encouragent à abandonner l’école, il est plus à risque d’abandonner.

(CONSEQUENCE)

Vu le trop peu de scolarité, le manque d’expérience et la spécialisation des emplois, plusieurs jeunes deviennent dépendants socialement ou marginaux. La faible scolarisation a d’autres conséquences négatives

Les conséquences humaines, sont entre autres les lacunes sur le savoir et le savoir-faire, un manque ou une baisse de confiance ou d’estime de soi, un manque de motivation et d’implication, un sentiment de rejet .

Le décrochage entraîne aussi d’énormes conséquences pour l’ensemble de la société comme, des salaires manquants, de la délinquance.

(sociétale) ceux ci ont bq de mal à trouver un emploi et Un jeune qui réussit à occuper un emploi sans diplôme court le risque, à moyen et à long terme, de ne plus répondre aux besoins des entreprises qui, elles, doivent être toujours davantage compétitives et compter sur une main-d’œuvre spécialisée, d’avoir une perspective d’employabilité faible, les décrocheurs ont souvent des emplois précaires et sous-payés, donc des revenus instables, ils font souvent face à un va-et-vient entre les périodes de travail et de chômage, les décrocheurs sont une main-d’œuvre à bon marché et plusieurs entreprises en profitent grandement, le degré de scolarité a donc une incidence sur le revenu.

(SOLUTIONS)

Il existe différentes solutions pour remédier à cela,

Lorsqu'un jeune décroche du système de formation initiale, sa rupture avec l'École ne permet alors plus à la communauté éducative de l'établissement d'assurer son suivi. Il est accompagné par la mission générale d'insertion (MGI). La MGI prend en charge les élèves de plus de 16 ans, à la demande des établissements.

Récemment dans l’actualité, Marine Lepen engage une nouvelle disposition, contenu dans son programme, pour insérer les jeunes de 14 ans au lieu de 16 dans l’apprentissage de leur futur métier car la plupart des jeunes qui décrochent estiment que l’école est une perte de temps.

Nous pouvons distinguer des priorités d’interventions :

Le travail rémunéré pendant les études n'est pas contre-indiqué. Le problème tient au fait que certains étudiants consacrent trop de temps à un emploi pendant l'année scolaire. C’est ainsi qu’en milieu collegiale plus du quarts des etudiants (26,5%) accordent 20 heures et plus à un travail renuméré.

Le soutien parental aux études, tant sur le plan psychologique que financier, contribue directement à une meilleure persévérance scolaire chez les étudiant.

Même quand les jeunes sont majeurs, l'influence du soutien des parents se fait sentir d'une manière tangible sur les indicateurs de persévérance scolaire. Les parents peuvent avantageusement agir, par exemple, en encourageant leurs jeunes dans leur programme d'études et en s'assurant que, sur le plan socioéconomique, ils aient une base financière leur permettant d'éviter de consacrer trop de temps à un emploi pendant l'année