Sncf

e. Les cheminots ont un pouvoir d'obstruction considérable, ils peuvent d'abord faire grève sans riquer de mettre en cause leur emploi, leurs cessations du travail représente un coût tellement grand pour la collectivité mais les pouvoirs publics doivent intervenir pour mettre fin au plus tôt au conflit et satisfaire les revendications. Jacques Chirac et Alain Juppé ont essayé chacun leur tour de réformer de statut, les cheminots ont ressentit cela comme une attaque à leur contrat et sans plus attendre ils ont immédiatement répliqué en faisant les deux plus grandes grèves de ces quinze dernières années. Un autre exemple ahurissant, est quand Louis Gallois ancien président de la SNCF propose aux syndicats un projet d'accord sur les 35 heures. La CGT approuve, cependant la FGAAC ( Fédération générale autonome des agents de conduite ) refuse. Le but de ce nouveau projet de Mr.Gallois était de travailler en moyenne 16 minutes de plus quotidiennement en échange de sept jours de repos supplémentaires. Fabuleux, n'est-ce pas ? Surtout quand on sait que ces derniers travaillent 31h30 en moyenne par semaine. Pourtant, suite à cela la FGAAC fait grève. Cette grève coutera 45 millions d'euros. En 2007, la SNCF a perdu 300 millions d'euros pendant les conflits d'octobre/ novembre, ce qui représente 30 à 40 % du résultat annuel, l'entreprise a aussi perdu 80 millions d'euros à cause des conflits sur les régimes spéciaux de la retraite. Les inombrables somme de perte d'argent ne se sont pas arrangés dans les années qui ont suivies, comme par exemple en 2010, à cause des grèves l'entreprise a perdu plus de 240 millions d'euros.

Ensuite, pour ma deuxième partie je vais commencer par dire que certes, les salariés font grève pour une raison mais est-elle suffisante pour justifier la perte de milliards d'euros et l'inaccesibilité à plusieurs millions de personnes d'accéder à leur travail ? Je ne pense pas. Je suis contiente que la SNCF n'a pas toujours fait les meilleurs choix, mais je trouve sa ahurrisant que des personnes qui ne travaillent même pas 35 heures par jour avec un salaire correct se plaignent. Les salariés veulent, moins travailler, plus gagner, et avoir une retraite prématurée. Je n'ai rien contre cela, mais la vie ne marche pas comme cela. Dans la vie, il faut travailler dûr pour gagner de l'argent. Toutes les personnes qui ont réussit dans leur vie au niveau professionnel ne sont pas aller se plaindre dans la rue à cause du mouvement de retraite de quelques années, non celles-ci ont passées des nuit entières à travailler, à ne jamais laisser tomber, à toujours se battre. Je respecte totalement l'avis des salariés mais je les trouve égoîstes, car quand ils font des grèves, cela engendre une perte d'argent de l'entreprise, qui est aidé par l'Etat et ce dernier provient ses fonds des citoyens par les impots. Donc cela a une répercution très négative directement liée à la population. Les grèves engendrent aussi des pertes d'emplois pour ceux qui ne peuvent pas utiliser le train/ter pour aller à leur travail. Les salariés auront toujours une excuse pour faire grève, quoique la société fasse mais on n'est pas obliger de leur laisser ce droit.

Ce qui me rapporte a mon troisième et dernier point, et ce pourquoi je m'adresse à vous politiciens, je vous ai cité d'inonbrable somme de perte d'argent, je vous ai cité les causes de cela, je vous ai aussi cité la répercution que cela avait sur autrui. Mais je suis ici, pour voit le positif et pour vous inciter à changer cela. Pour ce, j'ai des solutions, pour commencer le droit de grève est bien trop délimité, il faut mettre des limites comme par exemple le droit à une grève tous les trois mois. Ensuite, si les salariés ont un problème contre certaines réformes, à la fin de chaque mois, dans chaque entreprise de la SNCF il faudrait mettre en place des réunions où tous les salariés y participeront et ils discuteront ensemble avec un chef ce qui leur pose problème et comment y remedier. Ensuite, les cheminots s'ils ne sont toujours pas contents,