Victor Hugo / la pauvreté

                                      Discours sur la pauvreté

Le pauvre ! Le faible ! Celui qui passera toujours en dernier dans n’importe qu’elle situation. On dira « le pauvre » pour une personne qui n’a pas réussi sa vie ou même pour une personne qui née pauvre on pourrait penser qu’elle restera pauvre toute sa vie.

Je vais vous poser des questions auquel-vous n’aurez sûrement jamais de réponse. Voulez-vous savoir contre quoi les misérables sont prêt à échanger pour avoir de quoi manger ? Ou même a faire ? Voulez vous savoir comment arrêter la pauvreté ? Voulez connaître les réponse à cet questions, je n’ai pas de réponse mais des faits.

Commençons…

Prenons l’exemple de notre cher Rémi, cet pauvre enfant a été vendu contre de l’argent, oui vous entendez bien de l’argent ! Il a été séparer de sa nourrice sans même pouvoir lui dire au revoir, vous ne trouvez pas ça affreux pour un enfant. Moi si !

J’imagine que toute les personnes qui lisent ceci doit se sentir mal pour cette enfant, mais nous vous inquiétez pas pour lui, il a vécu plusieurs mésaventures mais aujourd’hui l’enfant qui autrefois a été vendu et très heureux avec sa femme Lise. Mais cela ne se serai jamais produit sans Vitalis. C’est peut-être lui qui l’a acheté mais c’est aussi lui qui l’a rendu heureux. Il était très heureux avec sa nourrice jusqu’ a l’arriver de du mari.

 Au XIXe siècle, Paris connaît une injustice sociale considérable. Dans "Paris mystérieux", notamment au début du roman, un personnage mystérieux Rodolphe s'efforce de restaurer cette justice sociale de plus en plus rare. Dans sa quête, il rencontrera toutes sortes de personnes, des travailleurs pauvres aux personnes socialement divorcées. Ce roman a été créé dans les profondeurs de Paris, dépeignant la pègre, les gens de la classe inférieure dans la souffrance de Paris, et Rudolph, qui joue le rôle de bienfaiteur dans cette situation.

Victor Hugo espère montrer que la souffrance n'est pas un choix inévitable pour les hommes: c'est une maladie sociale traitable. Victor Hugo compare la société au corps humain et la souffrance à la maladie: « La misère est une maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ».