Expression Ecrite

et là j’entendis

« C’est la police, ouvrez, nous savons que vous êtes là nous avons vu la lumière s’éteindre »

Des sueurs froides commençaient à couler sur ma joue encore toute marqué du livre sur lequel je m’étais endormi. Une montée d’adrénaline survint en moi, je m’échappai par l’arrière de la maison pris ma vieille 4l héritée de mes grands-parents, la voiture était encore froide et j’eus du mal à la démarrer. J’arrivai à la démarrer avec peine mais enfin elle démarra elle fit tellement de bruit que les gendarmes sautèrent par-dessus la clôture et arrivèrent rapidement au niveau de la 4l, je passai rapidement la première et arriva à partir, un gendarme se trouvât devant moi mais j’arrivais quand même à l’évité mais lui avec sa matraque frappa et éclata le par brise. Des échantillons de verres m’éclatèrent sur le visage et me coupèrent le visage. J’étais enfin sur la route avec une seule pensée partir d’ici et allé le plus loin possible. Qu’avait-il bien pu m’arriver ? Qu’avais-je fais pour en arriver là ? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête. J’étais sur les petites routes de campagnes maintenant direction Nantes mais ce n’était pas assez rapides alors j’allai sur l’autoroute direction paris. Me voilà arriver aux premiers péages, mais un barrage de gendarmes barraient la route, ça y est j’étais foutu. Les gendarmes m’arrêtèrent me mirent les menottes et m’emmenèrent au commissariat de Nantes, un inspecteur me mit dans son bureau me posa des tas de questions, et enfin me dit que j’étais condamné à deux mois d’emprisonnement ferme et six mois avec surcit. Je lui répondis avec étonnement « c’est tout »

L’inspecteur très étonné me répondit que le délit de fuite était punit par la loi mais que cette faute ne méritait pas plus. Etonné je lui demande pourquoi était-il passé chez moi le matin, il me répondit qu’apparemment on n’avait pas vu ma voisine depuis 2 jours et que les autres personnes du village commençait à s’inquiété… .Après deux semaines de prison ma sœur réussit à avoir une demande de parloir et une semaine après elle venait me voir me demandait de mes nouvelles, et ne comprenait pas pourquoi j’avais ne voulant rien lui dire car j’avais toujours le tableau à la maison je la laissais parler. Puis à la fin du parloir elle se leva, m’embrassa, et me dit :

« A mais j’oubliais, alors il t’a plu mon cadeau ?

* Mais quel cadeau ?

* Le tableau que je te suis offert pour ton anniversaire, un tableau que j’ai trouvé à la brocante, une reproduction parfaite du tableau, Le désespéré de Gustave Courbet. J’espère qu’il ta plu ? »