Psychologie Gérontologique: Travail De Session

que la partie biologique de la maladie aurait d'énormes conséquences éthiques. La maladie ne peut se réduire la la seule composante biologique, il faut considérer la facette psychosociale. Ouvrir la portes aux sciences humaines pour qu'ils apportent leurs expertises à l'Alzheimer pour ainsi donner une qualité de vie meilleure aux patients et entretenir avec eux de meilleures relations.

Cependant, en plus des thérapies médicamenteuses et cognitives, les patients atteints d'Alzheimer participent souvent à des psychothérapies. De plus, Ergothérapeutes et kinésithérapeutes participent souvent au traitement. C'est donc faux de dire que la médecine actuelle ne porte pas attention aux effets non-biologique de la maladie. Le fait que les médecins pensent que la famille a répondu positivement à l'annonce du diagnostic est souvent associé à la retenue émotive de celle-ci en face du médecin pour diverses raisons. Donc la médecine n'est pas seule responsable du manque d'émotion.

L'idée que les sciences humaines occupe une plus grande place dans le traitement des maladies est absolument justifiée. Par contre, il faut s'entendre sur la place qu'elle doit occupée. Il ne faut pas réinventer la médecine en délaissant complètement le coté biologique, car celui-ci est nécessaire. Les sciences humaines ont une attitude ambiguë envers les sciences natures : elles veulent faire différent et ont tendance à les imiter.

Le point de vue non-éthique de l'absence d'émotion est discutable. Le corps médical et la famille veulent protéger le patient des souffrances en ne leur annonçant pas la mauvaise nouvelle par compassion. Ceci implique que le patient n'est pas capable de contrôler la souffrance de son état. Par contre, la plupart des patients, avec une aide adaptée, répondent bien à l'annonce du diagnostic.

Certes la médecine doit toujours savoir qu'elle a affaire à des hommes, mais elle doit rester rationnelle tout en étant humaine.

Critique

Je crois que cet article cerne bien l'enjeu de la médecine moderne. Celle-ci se porte peut-être un peu trop sur les phénomènes biologiques et pas assez sur les répercussions psychosociales de la maladie. L'article démontre bien que la médecine n'est pas la seule responsable de cette tendance et aussi que les sciences sociales veulent avoir plus de place mais s'y prennent parfois de la mauvaise façon.

Deuxième Résumé : Vieillissement et productivité : que savons-nous

Dans le contexte économique actuel, les entreprises se posent la question suivante : Les travailleurs âgés sont-ils rentables? Des données recueillies entre 1948 et 1986 suggèrent que la productivité atteint un sommet vers 40 ans et ensuite elle baisse légèrement. Une méta-analyse de 96 études en1989 n'a pas pu établir de lien entre ces deux facteurs.

Dans l'optique de la diminution des coûts et la maximisation des profits, les compagnies ont changé la vision de l'équité pour une autre qualifiée de plus réaliste. Les travailleurs plus âgés n'auront pas de traitement de faveur. Ceux-ci continueront à être employé tant que leur productivité sera optimale. De plus, les compagnies ayant investies dans les nouvelles technologies s'inquiètent sur la capacité des personnes plus âgées à s'adapter à ces fameuses technologiques. Les compagnies s'entendent pour dire qu'avec une formation appropriée, ces personnes pourront être efficace avec ces technologies mais peu d'entre elles l'ont réellement fait.

Peu d'études ont fait de corrélation avec la diminution de la productivité et l'âge. De plus, peu de compagnies notes et archivent les rendements de productivité de leurs employés. Les études qui ont travaillé sur le sujet ont observé une faible corrélation entre la productivité et l'âge. Et cette faible corrélation ne peut pas justifier une mise à la retraite précoce.

De plus en plus, les employeurs modifient leur système de récompenses pour les employés. Autrefois, en 1978, la productivité était en quatrième place alors qu'après cinq ans, elle est première. La productivité des employés est maintenant un aspect très important lors de l'embauche d'employés. De plus, les personnes âgées voulant occuper un emploi à temps partiel n'était pas perçu comme un obstacle à l'embauche. Mais faut-il que le manque de travail soit substantiel pour que la compagnie modifie son programme d'embauche. Une étude en 1998 fait très bien paraître les travailleurs âgées. Ils sont biens perçu et même recherchés mais seulement 10% des compagnies sondées ont actuellement engagé des personnes âgées.

Une autre étude en 1988 sur 1308 ingénieur n'a pas établi de corrélation forte entre l'âge et la productivité. Elle augmentait au début, atteint un sommet puis diminue. Par contre, il y avait de grandes fluctuations entre des cas individuels. La plupart des mauvaises performances, peu importe la complexité, étaient attribuables au manque de formation plutôt qu'à l'âge. Même si les capacités des travailleurs diminuent avec l'âge, celles-ci peut être compensée par la formation.

Une étude a été faite sur les travailleurs à la Sun Life, une compagnie avancée sur le plan technologique. Celle-ci contient beaucoup de personnes âgées. Aucune différence d'adaptation n'a été notée entre les jeunes et les moins jeunes. Par contre, une certaine préoccupation était perceptible, surtout chez les employés près de la retraite et chez les moins en santé.

Entre 1954 et 1964, le US Bureau of labor Statistics est arrivée à des conclusions plus négatives sur la productivité des travailleurs âgées. Les plus productifs étaient les 25 à 34 ans. Par contre, ils ont constatés de grandes différences sur la productivité à l'intérieur de même groupe. Ils concluaient que la productivité ne baisse pas avant 59 ans.

Un autre point de vue sur la productivité et l'âge a été soumis en 1979, par Lazeat. Celui-ci postule que les salaires élevés des plus anciens ne sont pas dus au rendement des employés. Ça serait plutôt pour encourager les plus jeunes à être productif et à les inciter à rester dans la compagnie. En effet, les vieux travailleurs seraient moins productif. Et ce en partie à cause de l'amitié avec les contremaître et des syndicats.

Deux autres études minent le statut des travailleurs âgées. Ils estiment que ceux-ci sont : moins productifs, manque de formation, ne connaissent pas les nouvelles technologies, ont un apprentissage lent, sont moins flexibles et ont moins d'habiletés physiques. Par contre, ils sont contre-balancés par leur expérience, leur jugement, leur engagement et leur ponctualité.

Dernièrement, la demande des diplômés universitaires a augmenté à cause des nouvelles technologies, notamment l'ordinateur. Ces technologies nuisent à la productivité quand le personnel qui les manipule n'ont pas la qualification ou la formation nécessaire. Alors l'investissement dans la formation de travailleurs âgés semble être une mauvaise décision pour les employeurs.

Des mesures avaient été prises au Japon pour réintroduire les retraités sur le marché du travail. Ceci permettait à l'État de diminuer ses rentes de retraite et de fournir une main d’œuvre qualifiée et peu coûteuse aux entreprises. Par contre, ces mesures ont été prises quand l'économie du Japon était en plein essor et semblait vouloir continuer ainsi. Mais le Japon est entré dans une récession dans les années 1990 et s'en sort à peine aujourd'hui. Beaucoup de ces entreprises ont relocalisé les emplois dans des pays étrangers diminuant ainsi le nombre d'emploi disponible.

Critique

Le texte amène beaucoup d'informations sur la table. Certains sont favorable et d'autres sont défavorables. Il est dur de discerner vraiment lequel a raison ou a tort. De plus, les études sont assez vieilles ce qui rend tout point de vue un peu biaisé. Par contre, ce sujet est entièrement d'actualité et intéressant car la population est vieillissante. Donc, de plus en plus de travailleurs âgés seront sur le marché du travail.

Troisième Résumé : Chapitre 9 : La Solitude

La solitude est un problème de notre société, amené par plusieurs facteurs. Cette condition est néfaste à long terme sur la santé. Les personnes âgées sont encore plus isolées, elles le sont par la famille, la société, le cartier et le système de santé.

À proprement parler, il existe deux types de solitude. On fait référence à ''vivre seul'' quand on parle de la taille du ménage, qui est ici réduit à une personne. Par contre, vivre seul est souvent perçu comme un facteur d'isolement. Ce type d'isolement survient surtout quand l'individu est coupé de son réseau de contact naturel. Le deuxième type de solitude correspond à ''être seul'' qui lui correspond au temps qui est passé en étant seul. Ce deuxième type de solitude est beaucoup plus subjectif. Un individu peut se sentir seul même s'il a des contacts extérieurs, s'il juge que son réseau