Les violences conjugales

Les violences conjugales

Nous allons vous parlez d’un thème qui fait encore tabou à l’heure actuelle : Les violences conjugales. Vous pensez savoir ce que sait mais en réalité c’est bien pire.

A cette époque les rues sont désertes mais pourtant cette femme sortit de cette rue en pyjama pied nue. Les voisins ont à peine eu le temps d’arriver à son niveau qu’un homme, surgit du même immeuble, la rattrape. L’homme présumé « son mari » la tire par les cheveux et la met à terre tout en la battant. Et pourtant personne n’ose s’interposer : et pour vous dire même le voisinage semble insensible à ses cris. En spectateur, ils la regardent sans rien faire et avec indifférence. Ce que je vais vous dire va surement vous choquez, je dirai même vous scandalisé ! L’un des gardiens lance un regard à une voisine spectatrice de ce terrible drame et dit : « il n’y a rien à faire, c’est entre le mari et la femme ! » Vous vous rendez compte de la phrase que cette personne à sortit ! De la méchanceté et de l’atrocité ! Pourtant dans ce pays cela parait tout à fait normal de la prononcé. De dire que c’est entre le mari et la femme et que personne n’intervienne dans la pleine action d’une violence conjugale. Après avoir senti ses forces faiblir, l’homme arrête de la battre et se relève en réajustant son tee-shirt avant de s’adresser aux voisinages : « Elle a voulu le scandale et bien elle l’a eu ! ». Et puis comme si de rien était, il a allumé sa cigarette et a continué son chemin. Ne trouvez-vous pas cela scandaleux que le voisinage ayant vu une scène affreuse et sordide ne disent rien, reste sans réagir ! A ce moment-là, deux jeune garçon se sont approché de la femme gisant par terre, inanimée et la soulevèrent. Non seulement c’est hallucinant mais pire encore, leur fille de quatre ans avait vu la scène les yeux écarquillés encore sous le choc et pleurait sa mère en silence. Elle a assisté à la scène sans rien dire tellement habitué à des faits qui si sont produit. En effet, ses parents ont tellement l’habitude de ce disputé voire même de se taper dessus. Ce jeune couple Maria et Mohamed Senhaji ne sont qu’un exemple parmi tant d’autre illustrant les violences conjugales !

Des associations ont été mise en place notamment « SOS femmes battues » ou encore F.N.S.F (Fédération Nationales de la Solidarité des Femmes). Une étude inédite de l’O.N.D.R.P c’est-à-dire (l’Observatoire Nationale de la Délinquance et des Réponses Pénales) s’est intéressée aux victimes de violence conjugale. Les résultats révélés par le journal « Lacroix » mettent en évidence un lourd constat : en moyenne sur 540 000 cas de violence conjugale seul à peine 2% sont condamnés puis prononcés. Ne trouvez-vous pas cela scandaleux ! Seulement 1 français sur 50 faisant des violences à leurs femmes sont condamnés. C’est pas beaucoup me direz-vous n’est-ce pas ?

 Florence avait à peine 20 ans lorsqu’elle s’est mariée à un homme. Ce fut son amour de jeunesse. A cette époque elle venait d’avoir 20 ans et ne s’attendait pas à ce qu’elle soit mariée. Vous êtes surement en train de vous dire que de cette mariée à 20 ans ; c’est très jeune. Pourtant Florence vivait un conte de fée, ils avaient une relation très passionnelle et très fusionnelle. Jusqu’au jour où son mari a commencé à devenir très jaloux et possessif. Il l’a battu et encore battu sans relâche. Elle fut 15 ans mariée à un homme qui l’a battait. Vous vous rendez compte 15 ans de mariage !  Le divorce fut terrible. Il fut tellement terrible, qu’elle avait peur de sortir, peur que son mari l’a harcelle. Pendant des années, il fit des menaces épouvantables.

 Nous voulons vous faire réagir et vous faire prendre conscience de certaine réalité de la vie.

Même vous les garçons vous êtes concernés ! Ils existent des hommes battus partout dans le monde notamment en France. On dit souvent que ce sont les hommes qui battent les femmes c’est malheureusement la vérité mais il y a aussi des cas d’hommes battus.

Une jeune femme de 25 ans est passée au tribunal de Toulouse pour violence conjugale sur son conjoint. Vous êtes surement en train de vous dire que cet homme en particulier et en impuissance dans ce couple. Durant 3 ans, elle aurait frappé à plusieurs reprises celui qu’elle appelait « son pigeon ». Le jeune homme aurait dépensé une somme astronomique de 60 000 euro et ouvert plusieurs crédits pour l’entretenir. Selon lui : « Elle lui demandait toujours plus d’argent ». Ils vivaient séparément. Lui vivait chez ses parents tandis que « sa femme » vivait chez son ami. Ce sont les parents du jeune homme qui ont appelé la police le soir du 8 octobre 2012. La jeune femme folle de rage en apprenant la nouvelle, frappa son mari de toutes ses forces à coup de poing et de rouleau de pâtisserie. Cette jeune femme a écopé d’une peine de 18 mois de prison dont 12 mois avec sursis. Une condamnation suivie d’une obligation de soins et de dommage et intérêt.