Les difficultés

Les difficultés

La prise de conscience sur la valeur intrinsèque, écologique, économique, scientifique, sociale et culturelle de la biodiversité  a eu d’énormes conséquences et entraine la mise en place d’instruments juridique visant sa protection.

Mais le développement  d’un cadre juridique institutionnel d’un écotourisme liée aux aires protégées au Maroc est malheureusement confronté à diverses difficultés.

-l’existence d’un déficit juridique en la matière

-manque voir même absence  d’une série de décrets et d’arrêtes  d’applications concernant  

-l’irrationalité dans la prise de décision et la défaillance des responsables suite au non-respect des textes juridiques existants.

- la non application des lois qui encadrent les études d’impact environnemental.

-la nécessité de matérialisation et interprétation de lois adoptées par le Maroc dans le cadre des conventions internationales.

 Après l’évaluation du cadre juridique et institutionnel relatif à l’écotourisme liée aux aires protégées au Maroc, nous avons pu remarquer  qu’il y a plusieurs lacunes et limites en la matière, et qu’il est nécessaire de mettre en place certaines recommandations qui peuvent servir de base pour améliorer le secteur.

Les recommandations

-il est  fortement recommandé de s’inspirer de bonnes parties des lignes directrices élaborés dans le cadre de la convention sur la biodiversité :

-afin d’élaborer des textes d’applications spécifique à l’écotourisme.

-d’introduire la notion du tourisme durable dans le projet de lois cadre sur la charte nationale pour l’environnement et développement durable.

-l’élaboration des plans d’aménagement et de gestion spécifique  pour chaque aire protégé.

-faire bénéficier la population locale de retombées économiques générées par l’écotourisme

- penser  et agir localement dans une dynamique nationales  et surtout rationnelle qui tient compte de l’intérêt de la population et l’espace local.

-d’identifier les attraits et le potentiel touristique de l’aire protégé

-de recourir à l’énergie renouvelable afin de ne pas endommager ni  détruire de façon radicales les ressources naturelle de l’aire protégé.

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