Problèmes économique contemporain
Cours : Problèmes économique contemporain. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar clem15112000 • 20 Mars 2019 • Cours • 2 863 Mots (12 Pages) • 618 Vues
Les pbs économiques contemporains
Les grands agregats et le circuit economique cm2
Intro :
Définition des grands agrégats économiques
- Keynes : les revenus stimulent la consommation et l’épargne.
- Formation des revenus
- Revenus primaires : les revenus du travail(W), patrimoine (du capital), et revenus mixtes.
- Revenus secondaires : - impôts, taxes, cotisations + prestations sociales (impôts revenus, impôts sur la fortune...) ils se retirent du revenu primaire.
- Revenu disponible : revenus primaires + secondaires. Il sert à épargner ou consommer.
La consommation :
L’opération économique qui consiste à acquérir des biens ou des services destinés à être détruits immédiatement ou progressivement à travers leur utilisation.
Les diff formes de consommation :
- Consommation finale et intermédiaire : la conso finale désigne les acquisitions visant à satisfaire directement les besoins d’un ménage alors que l’intermédiaire c’est lorsque le bien disparait dans le processus de production.
- Consommation marchande et non marchande : la conso marchande est la conso de biens ou de services dont le prix de vente couvre au moins 50% des coûts de production, et non marchande est la consommation de biens ou de services proposés à titres gratuits ou quasi gratuit. En tout cas à un prix qui couvre moins de 50% des coûts de prod. (Auto consommation, piscine municipale)
- Consommation des ménages et consommation collective : la conso effective des ménages prend en compte à la fois les dépenses de conso des ménages mais aussi les consos individualisables supportées par les administrations et la consommation collective ce sont les services collectifs non individualisables qu’on ne peut pas imputer nommément à une personne.
Les déterminants de la consommation :
- La vision néo-classique : la loi de l’offre et la demande avec le principe de tâtonnement
- Vision keynésienne : selon Keynes la conso dépend du revenu, plus le revenu augmente plus la conso augmente de façon moins que proportionnelle. Consommation= proportion marginale à consommer fois le revenu + consommation incompressible (C=cY+Co). La proportion marginale … est la part de variation de revenu qui est affecté à la consommation. La proportion moyenne est ce qu’on consomme tous les mois (de manière habituelle).
- Modèles de consommation de long terme :
- Duesenberry : Effet imitation / Effet cliquet : mm début d’analyse que Keynes si le revenu augmente la conso augmente. Effet d’imitation = augmentation du revenu. On cherche à consommer comme la classe qui est juste au-dessus de nous et qui a un revenu sup. et l’effet cliquet = revenu qui baisse. On va chercher pendant un temps la consommation comme avant la baisse jusqu’à une diminution progressive. On retient un petit la descente
- Friedman : théorie du revenu permanent : il résonne aussi à long therme. Il ne parle pas d’un revenu courant mais un revenu anticipé. Les personnes consomment en fonction leur revenus futurs. Les consommateurs anticipent leur consommation. Cette théorie va à l’encontre de l’effet criquet.
- Modigliani : théorie du cycle de vie : on consomme différemment en fonction de notre situation dans la vie (un enfant ne consomme pas et n’épargne pas). Pdt la vie active, on a notre revenu qui progresse tout au long de la vie. On a donc une période au début ou on consomme beaucoup pour s’équiper et après on stagne la consommation et on épargne car le revenu lui augmente tout au long de la vie. Au moment de la retraite le revenu se revenu se retrouve amputé. En moyenne le revenu est inférieur quand on passe à la retraite et la consommation elle diminue ou alors elle stagne ou augmente un petit peu (les frais de santé). Si c’est le cas on se retrouve donc dans l’obligation d’utiliser l’épargne = désépargner. Si au contraire le revenu est tjrs sup à la conso alors il continue d’épargner mais pour la descendance.
- Pigou et Patinkin : Effet d’encaisses réelles : comme les gens anticipent, ils ont tendance à moins consommer et épargner plus pour pouvoir consommer plus tard, car l’inflation est présente. Pour eux tous les auteurs précédents font passer à la trappe l’inflation. Mais il y aussi la loi de l’offre et la demande qui rentre en jeu et donc si les gens consomment moins alors le prix baisse. Si on anticipe l’inflation alors la consommation diminue. Si la conso diminue alors le prix diminue et donc l’inflation sera moins prononcée et donc pour eux il s’agit d’un phénomène transitoire.
- Multiplicateur et propension marginale à consommer :
C’est la pensée de Keynes. Lorsqu’un ménage a une augmentation de son revenu (une prime) il va consommer une partie de cette augmentation qui va donc donner une augmentation du revenu pour le vendeur et va donc créer un effet boule de neige. Ce qui rétablie donc l’économie. (Trouver def plus chercher)
Déterminants psychologiques
- Maslow et la pyramide des besoins : un consommateur va chercher à répondre aux besoins primaires puis une fois que c’est fait ceux de la sécurité … et ce jusqu’en haut de la pyramide.
[pic 1]
- Les modes de consommation dépendent :
- Niveau économique et social du pays : pays pauvres d’abord les besoins vitaux pays riches besoins de bien-être. Et facteurs de pauvreté
- Niveau socioculturel des agents : effet Veblen : pour certain bien si le prix augmente ou s’il atteint un certain niveau de valeur, alors on le consomme. C’est l’effet d’ostentation, l’effet de snobisme. C’est un effet plus basé pour les riches (parfum bas prix n’est pas acheté). Pour l’effet Giffen c’est le même principe si le prix augmente alors on l’achète mais au niveau des produits de premières nécessités. C’est plus pour les « pauvres ». (Prix des pommes de terre augmente alors on achète).
- Type de société : tout le monde dans le monde en fonction de son revenu ne consomme pas de la même façon. En fonction de la façon dont on a été élevé on consommera d’une certaine façon, du moins pendant les premières années de notre vie active. Notre consommation dépend aussi de la publicité et en particulier le besoin que l’on peut susciter par les pubs.
L’épargne :
L’épargne c’est notre revenu moins notre consommation. S = Y – C
Différentes formes d’épargne :
- L’épargne volontaire est l’argent que l’on choisit de mettre de coté et l’épargne forcée est ce que l’on nous impose de mettre de coté (les cotisations retraites)
- L’épargne oisive et l’épargne active : l’épargne active est une épargne qui nous rapporte de l’argent, qui permet de percevoir des intérêts et l’épargne oisive ne rapporte rien (l’argent dans notre porte-monnaie par exemple). On peut aussi parler d’une épargne inactive/thésaurisée/ stérile
- Epargne individuelle et collective : épargne individuelle est l’épargne de chaque personne et l’épargne collective est le regroupement d’épargnes individuelles. (Cotisations retraites servent à financer les retraites des autres)
- Epargne de précaution : argent qu’on met de coté pour se prémunir d’un risque futur (perte de son travail) et épargne financière : épargne que l’on veut mettre de coté pour espérer un gain financier. Une épargne financière est une épargne active.
L’investissement :
Les différentes formes d’investissement.
Définition : l’investissement consiste à acquérir des biens mais à la différence de la consommation finale ces biens sont censés apporter des revenus futurs plus grands que si l’investissement n’avais pas eu lieu. De même à la différence de la consommation intermédiaire ces biens doivent être durables c’est-à-dire une durée d’utilisation supérieure à un an.
- Investissements matériels, immatériels et financiers :
- Investissements matériels sont l’acquisition de biens de production durables des machines…
- Immatériels : tout ce qui concerne les savoirs (en recherche), savoir-faire (dépenses en formation), et savoirs organisés (logiciels, processus) et enfin le faire savoir (marketing)
- Financiers : prêts à long termes ou prises de participation dans une entreprise
- Les investissements de renouvellement, de capacité et de modernisation :
- Investissement de renouvellement : renouveler un matériel qui ne fonctionne plus par l’achat du même
- De capacité : pour augmenter les capacités de production on achète de nouveau le même produit pour en avoir deux fois plus
- De modernisation : achat d’un nouveau matériel plus productif que l’ancien
L’efficacité c’est atteindre son objectivité
L’efficience : minimiser les facteurs de production
- La productivité : elle mesure l’efficacité d’un système productif, c’est-à-dire la comparaison de la production réalisée avec la quantité de facteurs de production utilisés. Il est intéressant de se demander qu’est ce qui permet d’améliorer la productivité.
- Progrès technique : l’ensemble des innovations qui vont apporter une transformation et en même temps améliorent les méthodes de productions, d’organisations, les facteurs de productions et aussi toutes les structures
- Innovation :
Déterminant de l’investissement :
- Le rôle de la demande anticipée on choisira d’investir si on pense que la production supplémentaire réalisée grâce à cet investissement rencontrera un débouché.
- Le rôle des profits escomptés : on décide d’investir si on pense que les résultats tirés de cet investissement seront positifs.
- Poids des contraintes financières : pour financer notre investissement soit on fait un autofinancement, utilisation des profits précédents, on se finance soit même, sinon on peut faire le financement externe, qui comporte 2 parties : le financement externe indirect par un intermédiaire, l’emprunt, ou le direct on va chercher les financements sans intermédiaire en allant chercher l’argent directement sur le marché.
- L’autofinancement : on compare le gain escompté de l’investissement avec le gain escompté de l’argent placé.
Les dépenses publiques : les différentes formes de dépenses publiques :
Ce sont les dépenses réalisées par l’Etat, les administrations de sécurité sociales, les collectivités territoriales et tous les organismes qui leurs sont rattachées
- Dépenses de fonctionnement : Toutes les dépenses courantes, salaires des fonctionnaires
- Dépenses de transferts en nature : Remboursement des frais de santé, enseignement…
- Dépenses pour accroitre le capital public : Toutes les constructions d’infrastructures ….
Dépenses publiques depuis plus d’un siècle : voir diapo
Différences entre dettes publiques et déficit public.
- Le déficit : diff entre nos recettes et nos dépenses et on est déficit quand on a plus de dépenses
- Les dettes sont l’additions de tous les déficits avec l’ajouts des intérêts.
Le circuit économique :
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