Social media
Étude de cas : Social media. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar clairemarine • 6 Novembre 2015 • Étude de cas • 1 728 Mots (7 Pages) • 983 Vues
Barack Obama a surtout utilisé Internet pour recruter et organiser les militants sur le terrain. La révolution de l’usage d’Internet dans sa campagne, c’est d’avoir su faire d’internet un levier d’organisation de la campagne on line et off line. Internet a été utilisé pour développer les initiatives locales des militants tout en conservant un control et un soutien logistique.
Intérêt a permis de créer une communication Peer to Peer en effet, personne n’est plus efficace pour convaincre un électeur qu’un autre électeur.
Internet a été utilisé pour rendre possible ces millions de mises en contact « par affinité ». Et les faire se rencontrer « physiquement ».
Une autre grande caractéristique de la campagne, c’est d’avoir collecté sur Internet des petits dons en ligne en très grand nombre : trois millions de petits donateurs ont donné 68 dollars en moyenne, a 99 % en ligne.
La clé de voûte de la campagne d’Obama a été les réseau social mybo : mybarackobama.com an easy to use social networking website that allowed Obama supporters to create groups, plan events, sign up for updates, set up personal fund-raising pages, download tools, and connect with one another.
Les réseaux sociaux généralistes (Facebook, Myspace), les médias sociaux (YouTube), ont été investis (via des groupes, pages et supporters), non seulement pour y être présents, mais aussi pour « drainer » de nouveaux volontaires.
Au-delà, les réseaux sociaux thématiques et affinitaires ont été́ ciblés pour entrer directement en contact avec les communotés sans dépendre de leurs représentants officiels : blackplanet pour la communauté afro-américaine, les réseaux sociaux des minorités (gays, latinos, etc.), ainsi que les personnes handicapées via Disaboom.
Les vidéos sur le Net ont également jouées un rôle important dans la campagne d’Obama : pour faire une annonce ou une intervention, comme support facile de marketing viral, ou même comme espace de créativité participatif. Les militants ont été encouragés a produire des vidéos pour se réapproprier le message, raconter leur propre histoire, pourquoi ils soutiennent Obama, faire des spots humoristiques, testimoniaux, etc. Les meilleures vidéos étaient sélectionnées par le staff de la campagne et diffusées sur tous les réseaux.
Le téléphone mobile et les SMS ont également joué un rôle capital : soit pour « recruter » les gens depuis la télévision en leur demandant d’envoyer un SMS avec Hope a un numéro gratuit pour être ensuite directement « enrôlé » dans la campagne, soit comme outil du volontariat militant sur le terrain : une application du site Mybo sur terminaux mobiles permettait ainsi de disposer de ses informations, par exemple, en faisant du porte-a-porte sur le terrain : cartes, listings de noms et d’adresses, etc.
Enfin, rien n’aurait été possible sans les énormes bases de données constituées a partir des listes électorales et enrichies par d’autres fichiers. C’est ainsi qu’a été créé Catalist, un fichier qui répertorie 220 millions d’Américains et comporte jusqu'à 500 informations par personne.
The cornerstone of the Obama campaign was the social network MyBO: mybarackobama.com an easy to use social networking website That allowed Obama supporters to create groups, events Plan, sign up for updates, set up personal fund-raising pages , download tools, and connect with one Reviews another.
General social networks (Facebook, MySpace), social media (YouTube) have also been invested (via groups, pages and fans), not only to be present, but also to "drain" new volunteers.
Beyond this, the peer social networks were targeted for direct contact with communities without going through their official representatives: BlackPlanet for the African American community, social networks of minorities (gays, Latinos, etc.) and people with disabilities via Disaboom.
Videos on the Internet have also played an important role in the Obama campaign: to make an announcement or intervention or as viral marketing support, or even as partcipatif creative space. Indeed, activists were encouraged to produce videos to reclaim the message, tell their stories, why they support Obama, do humorous spots, testimonials, etc. The best videos were selected by the staff of the campaign and broadcast on all networks.
The mobile phone and SMS have also played a vital role: to "recruit" people from TV, asking them to send an SMS with Hope to a free number directly to then be "enrolled" in the campaign. The mobile phone has also been used as a tool to volunteer activist in the field: mobile site MyBO allowed the activists on the ground to have information eg to make door to door as maps, listings and names address, etc.
Finally, nothing would have been possible without the enormous databases developed from the electoral lists and enriched by other files. Thus was set up Catalist, a file that lists 220 million Americans and includes information up to 500 per person.
Barack Obama has mostly used the Internet to recruit and organize activists on the ground. The revolution of Internet use in his campaign, is to have succeeded in making this tool a campaign organization lever, on line and off line. Internet was used to develop local initiatives activists while retaining control and logistical support.
Internet has created a Peer to Peer communication in fact, no one is more effective in convincing a voter than another voter.
« MyProgram » est une champagne de crowd sourcing qui permettra aux militants d’être partie prenante dans l’élaboration du programme de leur candidat.
Réunis par communautés les militants auront l’occasion d’élaborer un programme au plus proche de leurs problématiques
Dans cette champagne, la communication sera un outil pour faciliter la participation, l’implication et l’intérêt des communautés.
Notre champagne sera fondée d'une part sur les processus participatifs et d'autre part sur les médias et la communication, pour favoriser les initiatives locales de différents intervenants réunis autour de problématiques communes.
Par «intervenants », nous entendons les membres des communautés, les groupes communautaires, les autorités locales ou régionales, les organisations non gouvernementales (ONG), les services gouvernementaux ou toute autre organisation œuvrant au niveau communautaire, ainsi que les responsables qui sont engagés, ou devraient l'être, dans l'initiative de développement retenue.
Ce type de communication implique une révision des pratiques, en mettant l'accent non pas sur la diffusion d'informations à sens unique ou sur la persuasion, mais sur la facilitation des échanges entre les divers intervenants afin de cerner les problématiques identifiées dans les CR partenaires. Il permettra également de formater un dispositif cohérent d'intervention des différents partenaires.
Les échanges entre intervenants servent donc à définir et à articuler les rouages de l'objectif fixé, à choisir une série d'activités pour atteindre l'objectif en question et à cerner les besoins en termes de partenariats, de connaissances et de conditions matérielles.
L'élaboration de plan de communication participatif pour les communautés
La communication du projet sera basée sur les aspects liés aux objectifs de réalisation du projet et même au delà englobe toute la stratégie de mise en œuvre du PAPIL. Il est évident, que les besoins de communication se révéleront différents d'une communauté rurale à une autre, d'une cible à une autre. A cet effet, le processus d'élaboration et de mise en œuvre du plan de communication se fera selon les étapes ci après décrites. Certaines de ces étapes peuvent être pratiquées en parallèle à d'autres ou dans un tout autre ordre. Il est donc important de voir ces étapes comme des points de repère dans un processus systématique global.
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