Economie générale BTS NRC/MUC

• Les grands courants de la pensées économique:

Intro: La science économique repose sur 3 grands courants:

• Le Libéralisme (pas d’intervention de l’état)
• Le Keynesianism (1 intervention en moyenne)
• Le Marxisme (L’état est propriétaire de tout)

La différence entre les 3 se fait par rapport au niveau de l’intervention de l’état dans l’économie.

1. Le courant libéral

Il a été développé principalement par des économistes Anglais (Adam Smith, David Riccardo, J-B Say). Il repose sur:

-Les fondements du libéralisme (développement au début du 18ème siècle): pas d’intervention de l’état dans l’économie. L’état ne peut intervenir que dans 4 domaines (la défense, la police, la justice, la monnaie) ce sont les fonctions régaliennes.

Le libéralisme résulte de la philosophie des lumières, elle avance l’idée sur le fait que les hommes naissent libres, du coup ils doivent pouvoir disposer d’un patrimoine qu’ils sont propriétaire. Il doit y avoir une libre concurrence.

L’Etat nation à pour mission principale d’arborer des lois pour permettre au marché de fonctionner normalement (en bonne concurrence).

1. Le keynesianisme

Keynes (1883/1946)-> Britannique il va révolutionner la pensée économique, il est favorable à l’intervention de l’état sur le plan économique; il est en opposition avec les libéraux.

L’état doit intervenir sur le plan :

1.         Économique

• En cas de crise l’état doit intervenir au sein des entreprises en adoptant des mesures sur le court terme (subvention, embauche=acteur direct de l’économie)-> court terme = conjoncturel
• L’état peut aussi être amené à financer des projets à long terme=structurel-> grands travaux

1. Social

• Keynes recommande aux états d’intervenir au niveau social, en versant des revenus de substitution aux personnes sorties du système (=chômeurs par exemple) afin qu’ils puissent tout de même consommer.

La théorie de Keynes est traditionnellement résumé en la notion de l’état providence (aider les entreprises et les citoyens) Forme d’intervention de l’E: sécurité sociale, nationalisation de certaines entreprises.

1.         Le marxisme

K. Marx (1818-1883) préconise la fin du libéralisme, il suggère que les prolétaires s’unissent et détruisent le modèle libérale en 3 phase:

1. La révolution Prolétarienne
2. Mise ne place du socialisme
3. Le communisme

1. La révolution prolétarienne

Il oppose deux classes, la bourgeoisie (les propriétaires) au prolétaires (ouvriers). Marx prétend que les prolétaires sont exploités par les bourgeois car il les font W au delà du raisonnable.

1. Le socialisme

C’est dans la théorie marxiste la création d’un gouvernement qui a pour mission d’instruire le peuple, de leur donner suffisamment de compétences pour pouvoir à leur tour gérer les entreprises qu’ils ont supprimer aux bourgeois. C’est l’égalité des chances pour tous.

1. Le communisme

C’est lorsqu’il n’y a plus d’état, les gens se gèrent eux même, il n’y a plus d’état.

Le communisme est un système qui est utopique, c’est impossible que les gens puissent se gérer tout seuls.

Conclusion:

cf chapitre I et II du programme d’éco.

À partir des grandes théories économique, le libéralisme, le Keynesianisme, et le marxisme, le système économique se sont progressivement modelé, construit. Aujourd’hui la théorie marxiste n’est quasiment plus représenté étatique. Les seuls qui a « survécu » c’est le libéralisme et le keynesianisme. Ce système libéral s’est étoffé et aujourd’hui il donne à l’état des pouvoirs qui consiste à mettre en place les mécanismes qui assurent une concurrence loyales entre les entreprises. L’état assure une information identique à l’ensemble des acteurs économiques, et il gère un certains nombres d’activités pcq ces dernières sont délaissés par les entreprises privées car ils ne sont pas suffisamment rentable.

        Chapitre II-La monnaie dans l’échange

La monnaie est un moyen d’échange entre les individus. Il s’est développer grâce à la multiplication des échanges. La monnaie s’est substitué au troc. Aujourd’hui l’intérêt d’étudier la monnaie réside sur : Les formes de la monnaie, la création monétaire et les garanties apportées a la création monétaire.

1. Formes et fonctions de la monnaie

        A-Définitions

La monnaie est constitué par l’ensemble des moyens de paiement directement utilisable pour effectuer des règlements sur les marchés des biens et services. Elle est définit par l’ensemble des actifs.

La monnaie est un bien indirect car elle ne procure aucune satisfaction direct, elle ne constitue qu’un élément de pouvoir d’achat. Elle est porteuse de choix.

        B-Les formes de monnaie

1-la monnaie fiduciaire

2-La monnaie scriptural, chèques, virement, titre interbancaire de paiement

3-La monnaie électronique

1. Les mécanismes de création monétaire et la masse monétaire

Il existe trois formes de création monétaire, et les pouvoirs publics cherchent à déterminer le volume d’argent qui circule, c’est la masse monétaire.

1. La création monétaire

-La BCE: la frappe de la monnaie (créer en 1995) et a pour fonction de réguler, de contrôler le système monétaire européen

-Banque commerciale: mécanisme de crédit

-taux directeur:taux auquel la bce prête aux banques commerciales. Il influence le taux d’intérêt des banques commerciales. Si il est élevé, il va favoriser l’investissement,  si il est plus faible il fait fuir les investisseurs mais il favorise la consommation intérieur.

La création monétaire peut être limité par la banque commerciale, cette dernière peut exclure du credit certaines catégories (cdd,ctt,rsa)

1. La masse monétaire

La masse monétaire représente l’ensemble des moyens de paiement qui est en circulation détenu par les agents économiques. Cette masse on la réparties en trois catégories:

La monnaie constitue un agrégat économique majeur, elle permet de fixer la valeur de tout bien, elle permet également de déterminer l’inflation, c’est à dire l’augmentation des prix sur une période relativement longue (6 mois). La monnaie constitue la source de la valeur de la richesse et donc de la puissance des états.

        Chapitre III- L’ouverture des économies

Les échanges internationaux correspondent au commerce qui s’effectue entre différents états. Ces échanges ont connu des phases différentes. Ces échanges comportent des biens, des services mais aussi des capitaux qu’on échange. Pour des raisons évidentes de comptabilités il faut pouvoir mesurer les échanges et l’instrument de mesures de ces échanges c’est la balance des paiements. De nombreuses théories tentent d’expliquer le fondement de ces échanges.

I- Le fondement des échanges internationaux

Le commerce international a toujours existé, néanmoins tel que nous le connaissons aujourd’hui résulte de la théorie d’Adam Smith et David Ricardo.

1. Les principaux auteurs

        1- Smith et la théorie des avantages absolue

Chaque état doit se spécialisé dans la production du bien dans lequel où il est le meilleur. Cette théorie vient de la division internationale du travail (spécialisation de notre économie). Cette théorie est la base du commerce international mais elle comporte des lacunes:

-Quand on a pas d’avantages absolue on est exclu du commerce international

-Elle favorise des prix élevés, elle limite la concurrence.

        2-La théorie de l’avantage comparatif (David Ricardo)

La théorie de Smith ne favorise que les grands états d’après Ricardo. Il prône que chaque état se spécialise dans la production du bien où son avantage comparatif est le moins mauvais.

        3-La théorie HOS (Herscher, Olhin, Samuelson)

C’est la théorie de la dotation en facteur de production. Chaque état doit se spécialiser dans la production des biens pour lesquels il a le plus de facteur de production. Il y en a trois, il y a le facteur travail, le facteur capital, et le facteur matière première.