L'Etat Nation
Mémoires Gratuits : L'Etat Nation. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresans le pays, qui sera le facteur dans le pays de transformations politiques et économiques importantes. François Ier a adopté la politique économique intelligente de Sully, qui a organisé les finances de la monarchie à partir de 1598, en prenant la défense des agriculteurs et en instituant des manufactures ce qui a amené prospérité et équilibre.
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3. L’homme de la Renaissance L’homme de la Renaissance a une personnalité qui épouse la complexité d’un monde en fermentation. C’est un être à la fois vigoureux et instable. Il aime les jeux de force et d’adresse, il endure la souffrance et la fatigue. Il a une sensibilité excessive, prompte à la colère, aux larmes, à la violence, aux excès. Il est curieux. C’est un homme de contrastes et de surprises endurci par une vie rude et dangereuse au spectacle de la souffrance et de la mort. Il s’est pourtant gouter les subtilités du sentiment amoureux et la douceur de l’amitié. Il est très artiste, attentif aux sons et aux images, aux parfums. Il admire la beauté du corps humain, il aime les belles maisons, les meubles, les vêtements brillants et riches, et la musique qui fait partie de sa vie quotidienne. Il aime aussi le beau langage et pratique volontiers l’art de parler et d’écrire. Cet homme nouveau est sociable par nécessité et par goût.
4. Les arts : évolution des arts du Moyen-Age durant le règne de François Ier (cf texte Gargantua qui illustre l’idéal de cette société aristocratique nouvelle) Les cours royales ont joué un grand rôle dans les progrès de la civilisation au XVIème. François Ier a voulu faire de la sienne un centre d’arts, d’élégance, et de vie mondaine. La cour royale s’organise peu à peu et devient plus importante, mieux ordonnée, et ne se réduit plus à un cercle mondain. A la cour on organise des théâtres, des bals, des promenades et des chasses. D’où le rôle prépondérant de la conversation. Il s’agit d’un réveil progressif des arts. Il faut attendre l’avènement de François Ier pour voir s’animer le milieu artistique. Grace aux ambitions de gloire et de prestige du nouveau roi, grâce aussi à son tempérament enthousiaste et généreux, à son amour d’un faste qu’il découvre dans les cours italiennes pour lesquelles il éprouve une admiration émerveillée, les arts trouvent en lui un mécène de choix et de goût. François 1er est le premier monarque français à prendre l’initiative du centre d’art, vaste ensemble architectural où la peinture et la sculpture (http://www.galerie-art-paris.com/). Le roi lui-même est à l’image de la civilisation à laquelle il appartient : grand et vigoureux, sensuel, curieux des choses de l’esprit, c’est aussi un homme d’action qui fait la guerre, mais qui avant tout aime le luxe et le raffinement. Il transformera des forteresses médiévales en élégants châteaux de plaisance. Le XVème siècle, loin d’être un moment de cadence après les folles fantaisies du gothique flamboyant fut en réalité un moment de transition, solide et riche d’expériences constructives, entre le Moyen-Age et le Baroque. Il y a eu aussi de nombreuses influences italiennes. Un équilibre, une harmonie des formes et des structures se fait sentir dans l’art en général. Cf Les châteaux de la Loire, http://www.chateauxtourisme.com/
5. La seconde Renaissance (vers 1530) L’art devient alors une science et une technique, grâce aux publications d’ouvrages sur l’art antique et aux séjours en Italie d’artistes français et d’artisans. Les apports antiques ou italiens sont davantage l’objet de transposition que de servile adaptation. Les œuvres sont « nationalisées » et cela créer un style composite, orignal.
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Cf L’œuvre de Pierre Lescot au Louvre :
L’école de Fontainebleau, est le nom donné à deux périodes de l'histoire de l'art français, qui dominèrent la création artistique française au XVIe et au XVIIe siècle, et figurent parmi les exemples les plus aboutis de l'art renaissant en France.
Gabrielle d'Estrées, 1594, Paris, Musée du Louvre
Les bas-reliefs de Germain Pilon, les trois grâces :
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6. D’Henri IV à Louis XIII Nouveau moment dans l’histoire de l’art au XVIème
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