Chomage

itables atouts. Deuxièmement, il faut avoir une expérience professionnelle ,et pour acquérir une expérience professionnelle on fait le stage, mais lorsqu’un employeur demande de l’expérience professionnelle, c’est souvent une question d’années…donc une durée de 4 ou 6semaine de stage, ça ne suiffit pas . Les étudiants sont d’un côté incités à poursuivre leurs études, jusqu’au niveau master au moins. Ensuite, une fois les études terminées, ils se retrouvent dans la catégorie des « surqualifiés », mais qui n’ont soit pas assez de langues, soit pas assez d’expériences professionnelle.

Après avoir obtenir leurs diplômes Ils cherchent un emploi évidemment ! Souvent, en vain. Alors ils n’ont pas d’autres choix que 9 d’accepter des stages à durée déterminée et fréquemment très mal rémunérés.

Et finalement, une partie d’entre eux s’inscrivent au chômage à défaut de pouvoir subvenir à leurs besoins.

Sur une autre artice dans le lesechos.fr « le chômage est reparti en nette hausse en septembre » elle a dit que : en août, le chômage avait fait une pause , en septembre, il a repris sa progression.

Le nombre de chômeurs a fortement progressé en mai et en juin, effaçant les reculs du début de l'année. Pour le mois juillet ce sont les mauvais chiffres du chômage : +1,3% pour les demandeurs sans activité et +0,6% pour ceux excerçant une activité reduite. L'économiste prévoit que cette hausse pourrait se poursuivre et le taux chômage rester durablement supérieur à 9% en 2011.

Les inquiétudes des Français sur une hausse à venir du chômage étaient fondées: le chômage a augmenté en juillet pour le troisième mois consécutif, effaçant le recul enregistré entre janvier et avril. Le nombre de demandeurs d'emploi qui n'ayant exercé aucune activité au cours du juillet en France métropolitaine a augmenté de 33 600 par rapport à juin (+1,3%), pour s'établir à 2,72 millions. Soit 17 000 de plus qu'en janvier. Au total, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi, y compris ceux ayant une activité réduite, s'établit à 4,103 millions fin juillet 2011. Un niveau là encore supérieur à celui enregistré au début du mois de janvier 2011, où le nombre total de chômeurs inscrits à Pôle emploi s'élevait à 4,05 millions.

Selon les articles ci-dessus, on résume qu'il y a trois tranches d'âge de personnes(catégories) qui sont plus touchées : 1.Les jeunes. La France a déjà un problème structurel avec l'emploi des jeunes et des seniors. Dans un premier temps, la réforme des retraites va amplifier le phénomène. De leur côté, les jeunes ont moins de l'occasion que les adults, puisqu'ils sont jeunes, ils n'ont pas beaucoup d'expérience professionnel, les entreprises ne choisissent pas prendre la risque de les embaucher. 2.Les femmes. Au début de la crise, les hommes étaient davantage touchés que les femmes, car les destructions d'emplois affectaient majoritairement l'industrie et la construction, des secteurs majoritairement masculins. A présent c'est l'inverse, le chômage des femmes progresse plus rapidement que celui des hommes. 3.Les chômeurs de longue durée. C'est la catégorie la plus problématique. Avant, nous assistions à des cycles : un ou deux ans avec des taux de chômeurs de longue durée élevés, puis ça repartait dans l'autre sens. Là, cela fait trois, quatre, voire cinq ans que ce taux est haut. Cela signifie qu'il y a des personnes qui vieillissent au chômage, et c'est une catastrophe.

Pire: comme en mai, aucune tranche d'âge n'a amélioré par cette poussée du chômage. Pour le chômage des jeunes, après avoir baissé pendant quatre premiers mois de 2011, il augmente à nouveau, de 1,2%, après une hausse de 1,3% en juin. Sur un an, le nombre de demandeurs d'emploi de moins de 25 ans, davantage sensible à la conjoncture économique, baisse malgré tout de 1,8%. Quant aux seniors, ils enregistrent une hausse de 1,5% en juin sur un mois et de 14,3% sur un an. Reflet de la difficulté des demandeurs d'emploi à rejoindre le marché du travail, le nombre de chômeurs de longue durée ne cesse de progresser, de 1% en juin et de 10% sur un an.

Comment expliquer ce retournement de tendance? Éric Heyer, directeur adjoint au Département analyse et prévision de l'OFCE, nous explique que cela ne s'améliore pas. Après un début d'année positive, la croissance française augement lentement: la Banque de France et l'Insee table sur une hausse du PIB à peine +0,2% au deuxième trimestre, par rapport +0,9% au trimestre précédent. Car le rebond de la croissance du premier trimestre était en grande partie à la poursuite de la reconstitution des stocks des entreprises, ces entreprises ont crééé certains nombres de travail pour les gens. Mais ce moteur ne jouera plus au deuxième trimestre: la demande d'emploi aux entreprises françaises a baissé entre avril et juillet, tandis que la croissance de l'activité globale a fortement ralenti selon l'indice PMI de Markit. Cependant la dégradation de la conjoncture économique n'explique pas à elle seule une telle dégradation du marché du travail. Donc, la conséquence : les entreprises préfèrent restaurer leurs marges sans emplois.

La volonté des entreprises de restaurer leurs marges est tout aussi responsable. Un peu plus de 356 000 emplois salariés ont été licenciés en 2008 et 2009, un niveau record. Mais compte tenu du recul historique de l'activité des entreprises pendant la crise financière, ces destructions d'emplois auraient dû être plus massives. La crise financière de 2008 et 2009, fortement destructrice en termes d'emplois, n'est toujours pas achevée dans la mesure où il y a toujours un décalage entre les événements économiques ou financiers et leur impact sur le marché du travail. Ce décalage est en moyenne de trois trimestres. Mais les entreprises françaises ont tout de même supprimé moins d'emplois que nécessaire, ce qui a entraîné une baisse de la productivité. Pour rattraper et ajuster les marges, elles ont commencé à faire de la croissance sans emploi.

Pourtant, A mon avis, ce