DM de français : Candide ou l'Optimisme, Voltaire
Mémoires Gratuits : DM de français : Candide ou l'Optimisme, Voltaire. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoiresquelle point il possède d'extraordinaires richesse : " la porte n'était que d'argent, et les lambris des appartements n'étaient que d'or (...) incrustées que de rubis et d'émeuraudes (...) des liqueurs dans des vases de diamants ".
De plus, le second aspect merveilleux du texte se base sur le registre fantastique.
Non seulement la richesse au sens propre est omniprésente, mais en plus l'Eldora est un lieu " innocent " reconnu pour sa " félicité "
Contrairement à la Vestphalie, ici tout est réellement pour le mieux : tous les habitants sont du mêmes avis, sans prières non moines, ils remercient Dieu chaque jour.
En outre, la description du palais du roi se fait avec une certaine magie : " les six moutons volaient "; " le portail était de deux cent vingt mille pieds de haut, et de cent de large ".
De même que la garde composée de " vingt belles filles ", Candire et Cacambo qui sont menés en carrosse pour prendre un bain et se vêtir, insiste sur le côté magique, royal, immaginaire au passage.
Ainsi que le description des édifices publics qui se fait avec toujours autant de surprise : tout est décrit dans la beauté de la richesse et de la magie.
3. La rencontre qui replonge Candide dans la réalité est celle qu'il fait avec Martin. Le passage qui montre que Candide se détache de l'enseignement de Pangloss est le suivant : " - Ô Pangloss ! s'écria Candide, tu n'avais pas deviné cette abomination; c'en est fait, il faudra qu'à la fin je renonce à ton optimisme. - Qu'est-ce qu'optimisme ? disait Cacambo. - Hélas ! dit Candide, c'est la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal "
4. Le savant Martin est une personne pessimiste. Les trois paragraphes qui nous le prouvent sont : " le diable se mêle si fort des affaires de ce monde, dit Martin, qu'il pourrait bien être dans mon corps, comme partout ailleurs "; " Je pense que Dieu l'a abandonné à quelque ête malfaisant (...). Je n'ai guère vu de ville qui ne désirât la ruine de la ville voisine (...). Les chagrins secrets sont encore plus cruels que les misères publques" et enfin : " Oui, dit Martin; mais fallait-il que les passagers qui étaient sur son vaisson, périssent aussi ? Dieu a puni ce fripon, le diable a noyé les autres ".
5. Si Candide ne veut pas mettre pied à terre en Angleterre c'est parce qu'il y voit des misère qu'il ne conçoit pas : " Dans ce pays-ci il est bon de de tuer de temps en temps un amiral pour encourager les autres ".
6.Non, Pococurenté ne me semble pas être un homme heureux car il dit que tout ce qu'il possède, notamment les livres, sont là seulement pour faire bonne impression, car il les déteste tous et ne conçoit pas ce que les autres auteurs disent ou pensent, il préfère être en accord avec lui-même plutôt que de reconnaitre que parfois certains ont raison. Il ne s'ouvre pas au monde et reste dans son cercle.
7. Lorsque Candide retrouve Pangloss et le frère de Cunégonde, tous trois sont sur un navire en direction du rivage de Propontide. Candide y va pour retrouver Cunégonde, tandis que Pangloss et le fils du baron sont esclaves et rament pour faire avancer cette galère.
8. La phrase qui montre que Pangloss n'a toujorus pas changé de philosphie malgré ses mésaventures est : " Je suis toujours de mon premier sentiment, répondit Pangloss; car enfin je suis philosophe : il ne me convient pas de me dédire, Leibniz ne pouvant pas avoir tord, et l'harmonie préétablee étant d'ailleurs la plus belle chose du monde, aussi bien que le plein et la matière subtile."
9. Au début, lorsque tous se retrouvent dans la métairie que Candide à acheter, lui et ses compagnons sont loin d'être heureux.
Il est vrai que Candide fut volé par les juifs, sa femme Cunégonde devenait plus laide et plus insupportable que le jour précédent, la vieille infirme était elle aussi insupportable, Cacambo maudissait sa destinée, Pangloss en faisait de même, et Martin, non étonné par ses malheurs, prenait son mal en patiente.
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