Devoir Synthese - Les professions de santé et de la déontologie médicale

1. Quelles sont les principales différences qui existent les professions médicales et paramédicales?

• Au niveau de la reconnaissance : ces deux professions sont-elles reconnues par organisme officiel, si oui le quel?
• Au niveau de la réglementation : ces deux professions sont-elle régies par les mêmes règles, où sont elles inscrites ?
• Au niveau de leur exercice proprement dit : c'est-à-dire qu'ont-elles le droit de faire ou de ne pas faire dans exercice de leur métier ?
• Au niveau de leur domaine d'intervention : les professions médicales et paramédicales intervienne dans domaines différents. Distinguer bien cas domaines en vous référant à ce que vous avez appris dans ce cours.

Les professions médicales et paramédicales sont toutes reconnues par le Ministère de la Santé.

Les professions médicales, pour pouvoir pratiquer, ont la nécessite de avoir un diplôme d’État et d’être inscrits et enregistrés au tableau de l'Ordre correspondant (ex. Ordre des Médecins) et sont aussi régies par le Code de la Santé Publique ainsi que par un code de déontologie.

A coté des règles qu'ils ont en commun, toutes les professions médicales et paramédicales ont des règles spécifiques pour leurs propres professions :

Les professions médicales ont le droit de diagnostic et de prescription. Les domaines sont différents, mais tous font partie de la santé. Le secteur médical est divisé en trois domaines : Les médecines (inclus spécialisations), chirurgiens-dentistes et sages-femmes.

Les professions paramédicales n'ont le droit d'établir ni un diagnostic, ni une prescription. Le secteur paramédical est divisé entre les professions de soins (aide-soignant(e), auxiliaire de puériculture, infirmier(ère)), les professions de rééducation (masseur-kinésithérapeute, ergothérapeute, psychomotricien, orthophoniste, pédicure-podologue, orthophoniste et diététicien) et les professions médico-techniques (opticien-lunetier, audioprothésiste, technicien de laboratoire d'analyses biomédicales et manipulateur en radiologie).

Mais toutes ces professions (médicales et paramédicales), incluant les autres professions qui font partie du secteur médical (pharmacien, ambulancier, visiteur médical), sont tenues au secret médical et doivent toujours, pendant leur exercice, respecter la vie et la personne humaine.

2. Quels sont les points de distinction entre les médecines dites parallèles et la médecine conventionnelle (traditionnelle) ?

• Définissez en quelques lignes mes médecines dites parallèles, en quoi consistent-elles ? Donnez des exemples
• Définissez la médecine conventionnelle. Par quels professionnels de santé est-elle exercée? Est-elle reconnue ? Quel est son rôle ?
• Faites ensuite un synthèse des vos deux définitions en faisant ressortir de façon concrète les points de distinction entre cas deux médecines. Peuvent-elles être complémentaires ? Si oui, pourquoi ?

Définition médecines parallèles : Les médecines parallèles sont connu aussi comme médecines naturelles ou douces, et ils ont souvent l'objectif de renforcer les défenses naturelles de l'organisme, elle peut constituer un traitement complémentaire. Elle se adresse à l'homme dans sa globalité, et il ne veux pas substituer la médecine traditionnelle et ni traiter les infections majeures.

Les médecines parallèles sont pressentes comme thérapeutiques. Il y à certaines que sont reconnues en France (ostéopathie, chiropractie, homéopathie et acupuncture)

Définition médecines conventionnelle : Médecine conventionnelle est celle qui est enseigne a tous les étudiants en médecine ; elle repose sur des bases physiologiques irréfutables car validées scientifiquement. Ces médecines sont les professions qui ont le droit de prescrire des actes de soin et signer les ordonnances, ce sont les médecins (et toutes les spécialisations qui en font partie), le chirurgien-dentiste et les sages-femmes.

Bien que les deux types sont la pour aider le patient, ils le font de différentes façon . Le développement de la médecine parallèle est basé sur des sources scientifiques incertaines, et parfois ça pose aussi des problèmes d’étique médicale. D'un autre côté, les médecines conventionnelle sont basées sur des faits et sont valides scientifiquement. Cette absence de bases « scientifiquement valides » est ce qui fait la principale différence entre médecines conventionnelles et parallèles.

Les deux peuvent certainement être complémentaires dans l'intérêt du patient. Par exemple, l'ostéopathie ou la chiropractie sont souvent prescrites. La première des deux est un médecine fonctionnelle qui n'intervient pas directement sur l'articulation qui souffre mais sur les parties du corps qui sont responsables de cette douleur. Quand un patient souffre de certaines douleurs, le médecin conventionnel peux envoyer son patient faire des séances de thérapie chez l'ostéopathe.

3. En quoi le code déontologie médicale concerne-t-il les secrétaires médicales ?

• Donnez une définition du Code de déontologie médicale.
• En vous référant à ce que vous avez appris dans le cours, citez des exemples concrets ou des mises en situation pour lesquels la secrétaire médicale est concernée directement par le code de déontologie.

Définition :Un code de déontologie médicale est un ensemble de dispositions législatives réglementant l'exercice de la médecine. 

Le Code qui est imposé aux médecins qui exercent en France concerne aussi leur équipe, et la secrétaire médicale en fait partie.

La secrétaire médicale est l'intermédiaire de son médecin avec les autres médecins, thérapeutes et patients, ce qui lui impose de suivre et respecter le Code. Particulièrement la moralité, le secret médical, le respect et le libre choix du patient, l’assistance à qui est en danger, la dénonciation de la maltraitance, mais aussi ne pas nuire la profession et ne pas non plus la commercialiser.

En résumé, elle fait partie du cabinet médical, et est mêlée à toutes ses affaires. Ici, cela veut dire qu'elle est partie intégrante de tous les rapports du cabinet avec les autres personnes (confrères ou patients)  : incluant les litiges ou conflits éventuels, les secrets personnelles et les pathologies des patients. Elle doit se rappeler que la priorité va toujours au Code de déontologie, dans son exercice ou dehors.

 4.  Un patient vous demande : " Je veux faire un don d'organes après ma mort, pour que mon organe continue à vivre dans le corps d'un autre, mais je veux que le receveur sache de qui provient l'organe ".