Libéralisme Avantages Inconvénients

rises publiques

• ainsi qu’à la déréglementation, dérégulation visant à réduire l’intervention de l’Etat dans l’économie et procéder à une réduction des dépenses publiques ;

La règle qui prime est celle du libre jeu de l’offre et de la demande en favorisant la compétitivité, l’innovation, la productivité et la rentabilité.

A - ASPECTS POSITIF POLITIQUE LIBERALE

Concernant l’approche libérale, les aspects positifs de la fin des monopoles publics sont :

Fin des monopoles publics

• Le discours libéral : rentabilité, productivité, motivation, dépenses, pas productifs, pas de rentabilité, beaucoup de dépenses du secteur public. Protection, sécurité de l’emploi alors qu’il devrait être formé pour être plus compétitif. Le travail selon la conviction libérale c’est vous êtes motivés, compétitifs, productifs.

• Augmentation des recettes pour l’Etat pour améliorer le budget et avoir une restauration de l’équilibre budgétaire voir un excédent budgétaire. L’Etat travaille essentiellement avec des recettes et moins de dépenses, c’est donc une amélioration budgétaire.

• Réduction des dépenses publiques qui vont dans le sens de l’amélioration de l’équilibre budgétaire.

Pour le ménage :

Il y a forcément des baisses de prix avec plus de choix et une meilleur qualité puisqu’il y apparition de la concurrence et celui-ci bénéficie des avantages de la concurrence. Plus les entreprises se concurrencent plus elles auront tendance à baisser leur prix tout en proposant une meilleure qualité pour attirer le consommateur. Plus de choix par l’augmentation d’acteurs présents sur le marché donc nécessairement plus de choix pour le consommateur.

L’exacerbation de la concurrence va conduire les entreprises à entrer en conflit et à baisser les prix pour être sures d’attirer le consommateur, mais également améliorer de la qualité pour voir croître le chiffre d’affaires, le résultat net, le bénéfice.

Pour l’entreprise : Par la compétitivité, par la rentabilité, l’entreprise a l’esprit d’entrepreneuriat, l’entreprise veut créer, elle prend des initiatives plus facilement. Esprit d’innovation. L’objectif est d’être la meilleure pour améliorer sa compétitivité, rentabilité, productivité, flexibilité.

Terrain propice pour répondre aux 4 CRITERES DE PERFORMANCE DE L’ENTREPRISE (CRPF)

o Compétitivité : faire mieux que les autres, prendre des parts de marché aux concurrents, être leader sur son marché, vendre plus que les autres en jouant sur le prix, le choix et la qualité.

o Rentabilité : Rapport entre les recettes et les dépenses

Rapport entre ce que cela rapporte et ce que cela coûte.

Le taux de rentabilité, estimation de la rentabilité par rapport aux besoins.

o Productivité : Capacité de production par individu sur un temps donné (productivité de l’humain). L’entreprise recherche à améliorer un maximum sa productivité, un gain de productivité. Ce sont les gains de productivité qui conditionnent les rémunérations, les salaires. Gain de productivité = hausse de salaires.

o Flexibilité : Capacité à s’adapter à l’évolution de son environnement (démographie, politique, réglementation 35 heures, technologie, climat…)

• Le PESTEL : Polititique, Economique, Socio Culturel, Technologie, Ecologique, Légal.

Favorable pour l’actif :

Voit apparaître des opportunités d’embauche. Possibilité de négocier des salaires plus élevés. Plus d’entreprises, plus d’emplois. Voir les conditions de travail améliorées. Choix : meilleurs salaires, meilleures conditions de travail.

Pour La Nation :

Hausse de la consommation=>hausse de la production=> hausse de l’investissement =>hausse de l’emploi=> hausse de la masse salariale=> hausse du pouvoir d’achat =>hausse de la consommation = cercle vertueux de la croissance.

o Elimination de tous les disfonctionnements des services publics, moins de monopoles politiques (pas simple de l’activité),

o Moins d’Etat, moins de réglementation qui étouffe l’activité économique

o Moins de salariés de la fonction publique qui sont considéré comme moins productifs, moins rentables, moins compétitifs, moins motivés et compte tenu de la sécurité de l’emploi plus d’arrêt

o Moins de dépenses sociales donc moins de dépenses publiques

B – LES ASPECTS NEGATIFS D’UNE POLITIQUE LIBERALE

Ménages :

Il peut y avoir des hausses de prix du fait que les entreprises s’entendent entre elles, ce que l’on appelle situation oligopolistique c’est-à-dire que l’oligopole décide des prix.

o On est sur un marché ou on libéralise, privatise, déréglemente, les entreprises rentrent sur le marché, elles sont de plus en plus nombreuses et dans le cadre de la concurrence, il y a quelques entreprises qui sont faibles, elles ont des difficultés de trésorerie, sont plus fragiles et donc sont rachetées par d’autres entreprises et on se retrouve sur un marché ou les entreprises s’entendent, se rapprochent, fusionnent et l’on se retrouve sur une marché qui plutôt que de s’élargir avec un nombre croissant d’entreprise, on se retrouve sur un marché concentré entre les mains de quelques décisionnaires, oligopolistique. C’est la loi du marché. C’est la perversité du mécanisme de la concurrence pure et parfaite. C’est un moyen de s’enrichir. Décalage entre le discours et ce qui se passe dans la réalité. Le privé a toujours dominé. Mécanisme de contradiction avec le libéralisme. On peut avoir des prix qui augmentent voir qui ne baissent pas réellement.

o Le choix en conséquence est remis en cause, par l’entente, le rapprochement des entreprises, le choix se réduit automatiquement.

o La qualité : Les entreprises s’entendent, phénomène de déréglementation, moins de contrôle donc les entreprises ont plus les mains libres pour fabriquer des produits. De plus en plus d’entreprises rentrent sur le marché et comme le contrôle ne peut pas se faire à grande échelle, certaines entreprises vont fabriquer sans respecter les normes, hygiène, sécurité, pollution.

Le consommateur a une attirance aveugle pour la baisse mais il ne peut pas voir si la qualité se dégrade.

L’entreprise est motivée par les éléments de profit. Elle a tendance à répercuter la baisse de prix sur la qualité des produits, des services.

Les entreprises respectent moins les normes, moins vigilantes, ne respectent plus les normes d’hygiène, de sécurité.

La situation de déréglementation a crée des incidences pour le consommateur, aussi bien que l’Etat est intervenu pour faire de la re-réglementation, considérée d’ailleurs comme une démarche anti-libérale. Exemple : Réseau ferroviaire en Grande Bretagne, réseau électrique aux US, l’Etat est intervenu et a racheté les entreprises. Risque de dégradation de la qualité sur l’alimentaire, transport maritime, aérien…

Risque pour les Entreprises :

Pour les jeunes entreprises, les entreprises fragiles, celles qui ont des difficultés de trésorerie face à des groupes qui se rapprochent, ces entreprises subissent plus de concurrence, plus de pression et risquent de disparaître. Cela ne laisse pas beaucoup de place aux jeunes, aux plus innovantes. Les grosses entreprises exploitent la fragilité des autres entreprises. L’objectif étant d’éliminer la concurrence. C’est un système qui ne laisse pas beaucoup de place aux jeunes, aux inexpérimentés, aux plus fragiles. Toutes les petites entreprises ne sont pas protégées sur ce marché. Elles ont intérêt à durcir leurs critères de performance pour s’en sortir et souvent elles agissent sur l’humain, le travail, les salaires ce qui nous mène à un problème collectif.

Les actifs :

Compte tenu de la fragilité des entreprises qui se retrouvent déstabilisées, qui ferment entraînent des vagues de licenciement. Ce sont souvent les salariés des petites entreprises, les salariés avec des contrats précaires qui subissent car ce sont les salariés les plus exposés à une baisse d’activité. Cette masse de salariés dits précaires, qui a véritablement explosée en nombre depuis la déréglementation du travail, est directement exposée aux aléas