Relations Humaines
Compte Rendu : Relations Humaines. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoirese que l’on vie, ressent et à nos modèles comportementaux (papa, maman, une idole, etc.). On construit donc son estime de soi par les interactions sociales et la relation à l’autre. Notre perception de nous-même dépend aussi de ce que les autres disent de nous, si une remarque est positive, notre estime de nous remontera, si au contraire cette remarque est négative, notre estime et confiance en nous baisseront. L’image de soi à donc toujours une impacte majeure dans la façon dont chacun se comporte.
Illustration d’une image positive qui engendre un processus de communication optimiste :
* Je suis très intéressée par le milieu dans lequel je me trouve (agence de publicité) car j’aimerai en faire mon métier plus tard. Avant de commencer mon stage, je me suis attelée à la lecture de beaucoup de livres sur la communication publicitaire, les stratégies, le marketing, les relations entre personnes au travail, etc. J’ai donc une certaine confiance en moi par rapport à la façon dont je vais entrer dans la boite, par le bagage de connaissances que j’ai préalablement assimiler (même si il est moindre, je pense que c’est toujours mieux que rien et que de toute façon je suis en stage pour apprendre).
* Sur mon lieu de stage, je m’intéresse à beaucoup de choses, j’ai une grande écoute quand on m’explique la façon dont je dois m’y prendre, je suis ouverte.
* Mes collègues constatent cet intérêt que j’ai pour leur boulot et me confient spontanément de plus en plus de boulot.
* Ils sont contents des résultats et me le signalent.
* Le fait que mes collègues remarque mon énergie et qu’ils viennent vers moi me confirme dans le fait que j’aime ce métier et qu’il est fait pour moi. Cela amplifiera ma confiance en moi et mon optimisme dans mes relations professionnelles, me confirmera que je peux faire les choses correctement.
Illustration d’une image négative qui engendre un processus de communication pessimiste :
* Je ne parle pas bien néerlandais et pourtant, sur mon lieu de stage, je suis dans une équipe entièrement flamande.
* N’ayant pas de confiance en moi à ce propos, je fais l’effort de prendre des cours de langue sur mon lieu de stage tous les lundis. Mais malgré cela, j’ai toujours autant de difficultés à m’exprimer, pourtant je comprends tout ce qui se dit autour de moi.
* Par ce complexe de communication et cette difficulté à m’exprimer dans une langue que je ne connait pas, les personnes autour de moi pensent que je ne veux pas parler néerlandais avec eux, alors que c’est tout le contraire, c’est juste un problème de « décomplexer » car je sais me faire comprendre en néerlandais et je n’ai pas un si mauvais accent que ça.
* A cause de cela, les personnes qui m’entourent parlent néerlandais entres elles et vont uniquement parler français avec moi.
* Ce mode d’action me renforce dans le fait que je ne parle pas bien néerlandais et je me sens encore plus incapable de m’exprimer dans cette langue.
Moi
Les autres me confirment dans ce que je suis (ou m’infirme dans ce que je ne suis pas)
J’adopte des comportements
Décryptage de ces comportements par les autres
Ce processus démontre que le rôle social intervient à grande échelle dans la façon de construire l’image de soi. Cette perception n’est pas innée, elle est modulable et évolue par l’accomplissement d’expériences et de rencontres.
Comment-pourrais je garder confiance en moi dans des situations qui me poussent à la perdre ?
Comme vu ci-dessus, j’éprouve encore de grosses difficultés à m’ouvrir aux autres quand notre langue n’est pas la même. La solution serait dès lors d’installer un climat de confiance avec les autres, de démontrer (tout en restant moi-même) que je peux faire des efforts linguistiques. Le climat de confiance s’installe au fur et à mesure, un bonjour le matin, un mail avec quelques mots néerlandais, montrerai mon ouverture aux autres. Le but est d’élargir la zone d’ouverture à l’autre pour faciliter l’ouverture à la communication. Pour pouvoir se développer positivement, il faut pouvoir passer au dessus de ces craintes et se livrer, exprimer pourquoi elles sont présentes et comment, ensemble, avec laide de l’autre, on pourrait passé au dessus. L’écoute est également un aspect très important dans cette hypothèse de solution. Après tout, si ces personnes ont du eux aussi apprendre ma langue, elles ont également éprouvé des difficultés, elles ont donc en elles des possibles solutions et aides à m’apporter pour m’aider à me sentir mieux.
L’image de nous idéale serait celle qui correspond à ce que l’on veux être et lorsque les actes que
l’on posent ne correspondent pas à cette image idéalisée, nous mettons des mécanismes en place pour dissimuler des parties de nous-même, pour prester bonne image auprès des autres. C’est en quelques sortes agir en fonction de ce que nous pensons que les autres attendent de nous et ne pas agir en fonction de ce que nous sommes réellement. Ceci fait aussi référence à l’explication de la fenêtre de Johari qui met en évidence les dimensions du soi, ce qui est connu de nous et ce qui ne l’est pas. Après utilisation de cet outil en séance, nous remarquons que la façon dont nous pensons nous comporter est parfois le contraire de ce que l’autre perçoit de nous. J’ai aussi, après réflexion, remarqué que pour un bon fonctionnement de la relation moi-autre, le respect du temps de paroles pour chacune des parties (moi et mon interlocuteur), l’écoute, l’empathie et le fait d’encourager l’autre à trouver des solutions propices aux deux terrains, favorisent considérablement une entente et une solutions idéale aux deux pôles.
En conclusion nous pourrons dire que pour avoir une bonne image de soi, il faut tout d’abord s’accepter tel que l’on est, avec nos défauts, nos qualités et trouver un équilibre entre les deux. Pouvoir tirer parti des capacités pour améliorer nos défauts boostera la positivité de son image.
La tolérance et le respect des autres amèneront également une positivité aux relations et avoir un recul sur nos expériences passées et tirer des conclusions quant aux erreurs et réussites produites aussi. Savoir acceptés ces erreurs permet aussi de se libérer. Faire la paix avec soi-même constitue une richesse pour l’avancement de son estime et de l’image que l’on renvoi aux autres. Dresser un bilan quotidien des situations vécues et spéculer sur de possibles solutions pour le lendemain semble être un bon chemin vers une entente et une situation idéale.
‘’Pour être quelqu’un d’intéressant aux yeux des autres, il faudra
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