Salle de surveillance post-interventionnelle

pond qu’il n’aime guère les piqures ! J’essais de le rassurer, en lui demandant si le fait que je sois étudiant est pour lui source de son inquiétude, il me répond que non. Tout en discutant avec Mr X, je lui demande de se détendre, car sa peau est dure, je lui dis que s’il ne se détend pas, le geste risque d’être plus douloureux, après quelques instants de discussion, je sens Mr X se détendre, je réalise donc la pose de la VVP. Mr X esquisse un léger sourire, et me dis qu’il n’a quasiment rien senti, il me dit être surpris, car il pensait que cela ne se passerai pas aussi bien, car j’étais étudiant, mais il ne voulait pas me mettre la « pression ». J’acquise par un sourire, en lui confiant que j’imaginais bien que le fait que je sois étudiant ne l’aidait pas a être totalement détendu, mais que si je ne m’étais pas senti apte a réaliser ce geste, pour une raison ou une autre, j’aurai passé la main a un membre de l’équipe. Dans les minutes suivantes, Mr X entrait en salle d’opération.

Observations :

- Un patient anxieux

- Une relation d’aide particulière et son importance dans un contexte de relation soin particulier

- La difficulté réaliser un geste par rapport à l’anxiété et l’attitude de ce patient