A quoi sert la philosophie ?

Ce texte nous parle de plusieurs aspects différents de la philosophie. Pour commence, nous évoquons la philosophie avec une simple question à quoi sert la philosophie? Ce dernier apparait dans les activités improductives et serait une matière qui n’amène absolument à rien. La philosophie a toujours prospéré notamment dans le sillage d’une culture gréco-romaine, qui est devenue chrétienne, humaniste et pour finir républicaine et démocratique.

Selon eux, les activités utiles sont celles qui satisfait un besoin ou ce dont la pratique ou l’usage peuvent être avantageux notamment l’agriculture. De ce point de vue, la philosophie n’est pas utile pour les individus et ni pour la société. Que vous soyez riche ou pauvre ou pour toute autre raisons chacun peut continuer de vivre sans avoir la philosophie dans leur vie. Mais encore elle n’est pas utile comme peuvent l’être les sciences humaines ou les sciences cognitives. Les philosophes ont cherché à faire un lien entre l’homme et l’animal pendant longtemps. Mais on nuancé cette idée en donnant une place à part à l’homme à ce terme. On évoque aussi une partie concernant la religion. En effet, la philosophie ne remplace pas la religion. À l’inverse de la religion qui est plus autoritaire et culpabilisante, la philosophie serait là pour apprendre l’être.

Dans la deuxième partie du texte, nous évoquons une seconde question : philosopher pour mieux vivre ? Dans cette partie chacun individu attend de la philosophie qu’elle les aides à mieux vivre en lisant notamment des auteurs contemporaines entre autres. Ce dernier n’est pas un anxiolytique et le philosophe n’est ni un maître à penser ni un gourou. Vladimir Jankélévitch, philosophe et musicologue français n’a de cesser de railler les conseils philosophiques à prétention prophylactique. « Elle ne peut pas délivrer un sens qu’elle ne possède pas et ne peut avoir pour objectif de nous épargner l’effort ou l’angoisse inhérent » cette phrase est énoncé dans le paragraphe. Par ailleurs, elle constitue une mine de ressources spéculatives comme en témoigne la connexion des démarches scientifiques et philosophiques dans l’histoire de la pensée.

En philosophie comme en art, même les esprits les plus ouverts et les plus curieux sont déroutés par les pensées novatrices. Tous les philosophes ne sont pas subversifs