La Fille- Jean De La Fontaine

par une ellipse temporelle : « Un an se passe et deux avec inquiétude. » Le déclin de sa beauté est montré par des changements décrit dans les vers suivant l’ellipse : « Le chagrin vient ensuite : elle sent chaque jour déloger quelques Ris, quelques jeux, puis l’Amour ; puis ses traits choquer et déplaire ; puis cent sortes de fards. ». Jean de la Fontaine nous montre les changements irréversible sur le visage de la fille par une métaphore : « Les ruines d’une maison se peuvent réparer : que n’est cet avantage pour les ruines du visage ! ». Du fait du déclin de sa beauté par les années passer et de sa solitude dû à sa fierté, la fille décida alors de se rabattre sur ce qu’elle refuser depuis des années une personne mal éduquée avec des manières grossières. Dans ce retournement de ce situation il y a un paradoxe évidant crée par Jean de la Fontaine, en effet à la fin de la fable il nous présente la fille comme heureuse et soulagée avec un malotru ; « Celle-ci fit un choix qu’on n’aurait jamais cru, se trouvant à la fin tout aise et tout heureuse de rencontrer un malotru. »