Le langage peut-il abolire la violence N
Cours : Le langage peut-il abolire la violence N. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar Leila Elmouden • 10 Avril 2019 • Cours • 795 Mots (4 Pages) • 676 Vues
Le langage peut-il abolir la violence ?
Aristote definissait l’homme comme ‘’le vivant possédant le langage ‘’ : la capacité linguistique semblent n’appartenir en propre qu’a l’homme , et le distinguer de tous les etres vivants. Le langage permet à l’homme de penser et de communiquer ses idées il fonde donc la vie en communautés, pourtant ce langage n’est pas universel ne nous comprenons pas toujours. Ainsi le langage constitue-t-il la comunauté humaine Alors le langage n’a -t’il pas une fonction éthique ? Le langage constitue-t-il la communauté humaine ? Comment peut – on caracteriser le langage humain ? Le langage peut-il etre un moyen de domination ?
Nous verrons dans un premier temps qu’utiliser le langage serait de renoncer a la violence puis dans un deuxièmes temps nous verrons que le langage peut dissimuler la vérité.
Tout d’abord il faut definir ce qu’est le langage en effet chaque etre humains possedent le langage , on peut le definir comme un systéme de signes ordonnés suivant des regles dans la mesure ou il comportent des caractéristiques propres absente de la communication animale en particularité sa plasticité et sont caractére articulé , rendant possible une infinité de combinaisons à partir d’un nombre réduit d’éléments. Sont étymologie latine du nom de ligua signifie organe musculaire , aptitude a parler mais aussi le systéme de signes. Nous remarquons qu’il faut differencier trois notion d’abord le langage qui designe comme l’ayant dit avant un sytéme de signe, puis la langue qui designe un système de signe propre a groupe social donner et enfin la parole qui designe l’acte par lequel un individu utilise une langue. Dans le dialogue de platon intitulé Gorgias le sophiste du meme dit ‘’l’art oratoire englobe lui- même et tient sous domination toute les puissance ‘’ selon les sophistes adversaire de socrate les mots serait un instrument de pouvoir extremement puissant le plus puissant même puisqu’il peuvent se subtituer a tout les savoirs comme tout les ssavoirs faire l’oratoire peut alors persuader sont public grace a sont savoir de la rhetorique , il fait croire a sont public qu’il a un savoir alors qu’âprement dit il n’en n’est rien. Ce principe est montrée dans tout les domaines dont notamment la politique
II) Le langage peut disimuler la veriter
Le dialogue est un outil polémique, puisque rien n’interdit de prêter à l’un des participants, des opinions que l’on veut critiquer. C’est un artifice qui permet de venir à bout d’un opposant, sans violence apparente. Dialoguer n’est pas toujours chercher le vrai. Tous les discours ne se valent pas. Platon oppose le dialogue philosophique, fondé sur la recherche commune et sincère de la vérité, au discours des sophistes qui, dans l’Athénes démocratique, n’apprenaient qu’à se rendre maître de l’opinion, sans égard pour la vérité. Friedrich Nietzsche insinuera même que la pratique du dialogue par Socraten’exprime que le désir de négation et de destruction. Le dialogue n’est pas nécessairement exclusion de la violence. Socrate semblait quémander instruction de l’autre comme pour devenir son disciple, mais il paraît soudain comme un maître qui dénnonce les fautes. Son art du dialogue pourrait bien être art de dissimuler sa supériorité sur l’interlocuteur, une feinte soumission pour mieux le dominer, à la fin, par quelque ruse. L’art du dialogue est art du mensonge. La sophistique grecque a la mauvaise réputation d’avoir été la pratique d’un discours déréglé, cherchant au moyen d’arguments fallacieux, à séduire un auditoire et à flatter l’opinion plutôt qu’à atteindre la vérité. «[Il y a un] penchant à se servir du pouvoir de raisonner pour disputer provoquer une querelle et finalement s’unir en masse les uns contre les autres et mener une guerre ouverte.» (Emmanuel Kant - D’un traité de paix en philosophie )Le dialogue est souvent ruse qui vise à dominer autrui sans avoir l’air de le faire. Il prétend établir une vérité alors qu’il n’est que l’affirmation d’une supériorité suffisamment subtile pour se dissimuler.
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