Spinoza, Lettre à Schuler
Commentaire de texte : Spinoza, Lettre à Schuler. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et MémoiresPar emma.sicard • 1 Janvier 2023 • Commentaire de texte • 447 Mots (2 Pages) • 257 Vues
Il estt fréquent d’associer les termes « homme » et « liberté » ensemble, l’idée que l’homme soit libre par nature semble en effet évidente. L’homme, être vivant pouvant parler, raisonner, étant cs de son existence, de son environnement et des ses actes semble posséder une cs mais aussi une liberté inée, qu’on ne peut lui oter. Du fait que l’homme soit libre de sa pensées, de sa parole et maitre de son corps amène l’idée que la liberté est inaliénable à l’homme. Toutefois, Spinoza, dans ce texte issu de Lettre à Schuler, revoie cette conception de la liberté chez l’homme: l’homme serait bien libre par ses choix mais ceux la ne peuvent exister que par la présence d’une raison, d’une cause exterieure à l’orgine de ses choix. Si l’homme pense en effet agir avec liberté en choisissanr d’aller manifester au lieu de travailler, sa liberté est toutefois limitée, déterminée par la cause et le nombre de ses possibilités.
Dès lors, la statut de la liberté que l’auteur veut mettre au jour imagée par une pierre chutant
semble étrange. A la fois l’homme est cs de ses actions et de sa liberté mais est ignorant des raisons qui le poussent à agir de telle facon ; connaît ses désirs mais pas leurs origines ; concoit une liberté par la libre élection d’un choix mais qui n’est possible que par le renoncmeent à d’autres choix donc à d’autres causes déjà définies ; l’homme pense enfin vivre selon sa propre décision alors qu’il ne fait que suivre une nécessité préétablie. Le probleme que souleve ce texte peut se formuler ainsi : comment concevoir, qu’en droit, l’homme se sente pris d’une liberté qui ne serait, en fait, qu’illusion ?
C’est d’abord pour Spinoza la seule présence de causes extérieurs à l’homme qui lui
expliquent une certaine liberté subjective de ses actes : il prend ici l’exemple d’une pierre poussée et contrainte dans son mouvement. Cette illustratrion d’une chose singuliere a été choisie pour montrer paradoxalemenr la complixite de la liberté chez l’homme (« Une pierre reçoit[...]qu’elle le désire »: l.1 à 12). La pierre se pense libre et poursuit son mouvement par une volonté arbitraire. Il poursuit son texte par un deuxieme moment (« Telle est[...]voulu taire »:l.12à fin) où il remet en cause et dénonce une liberté chez l’homme pensée choisie et voulue alors qu’elle ne fair encore une foid que répondre à des critères. Cette pierre sera cette fois-ci explicitement comparée à l’etre humain.
C’est bien parce que l’homm est cs qu’il peut conceptualiser une notion de liberté qui semble s’appliquer à son corps, sa parole, ses actions et à ses pensées.
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